Péage et stationnement : que choisir entre la carte carburant et le badge ?

Alors que la mobilité prend une place prépondérante dans le quotidien des entreprises, les dépenses qui en découlent peuvent devenir une vraie charge pour les collaborateurs comme pour l’entreprise.

Les avances de frais grèvent les finances des salariés qui doivent en plus supporter la surcharge de travail et de stress liée à la réalisation des notes de frais. Et ces mêmes notes de frais représentent un poids significatif pour les équipes administratives et financières qui doivent contrôler, relancer, ressaisir les informations… autant de tâches chronophages et sans grande valeur ajoutée qui pourraient être automatisées.

Grâce aux nouvelles solutions de paiement innovantes, il est pourtant facile de gérer les dépenses professionnelles quel que soit le nombre de collaborateurs. Parmi les solutions dédiées aux péages et parkings, les cartes carburant et les badges ont particulièrement la cote.

Pourquoi choisir la carte carburant

Malgré ce que leur nom suggère, les cartes carburant ne se destinent pas uniquement à l’achat de carburant. Les prestations incluses sont en effet multiples, l’objectif étant d’offrir un maximum de flexibilité aux professionnels en déplacement.

Il existe des produits dits multi-enseignes comme la carte carburant Mooncard. Ils vous permettent de vous fournir auprès de toutes les stations services. Polyvalentes, ces cartes peuvent être paramétrées individuellement afin que les prestations prises en charge soient cohérentes avec les missions confiées à chaque collaborateur. En plus des achats de carburant, la carte peut également servir au règlement des réparations automobiles, des tickets de parking, des paiements des amendes

La carte carburant peut être attribuée à un utilisateur spécifique. Des plafonds de paiement et une restriction des utilisations est de ce fait possible. À chaque fois que la carte est utilisée, le service de gestion au niveau de l’entreprise est notifié en temps réel, ce qui facilite les opérations comptables.

Pourquoi opter pour le badge de télépéage

Le badge est un dispositif électronique qui se fixe près du rétroviseur, sur un support dédié. À l’approche d’un péage, ce petit gadget sans fil émet un signal capté par une antenne située dans la voie de péage. Cela provoque l’ouverture automatique de la barrière. Les passages sont beaucoup plus rapides dans la mesure où le paiement ne s’effectue pas en temps réel. Les détails des péages et stationnements sont enregistrés par le badge et font l’objet d’une facturation mensuelle.

Il est primordial de bien positionner le badge de télépéage afin de lui garantir une excellente communication avec les relais des péages autoroutiers. Le collage du support et du badge sur le pare-brise doivent ainsi se conformer aux indications du fabricant. À cet effet, il est plus judicieux d’associer un badge à un véhicule donné et non à un utilisateur.

La combinaison des deux options est-elle possible ?

Il est tout à fait envisageable d’associer ces solutions pour gagner en simplicité. En effet, la carte carburant permet de régler les péages et stationnements enregistrés par le badge autoroutier. Il n’est pas nécessaire de vous déplacer ni même de collecter des justificatifs auprès de chaque collaborateur pour les paiements inhérents à leur mobilité. Dans la mesure où vous pouvez accéder aux données enregistrées, vous avez la possibilité de vérifier les données quand vous le jugez nécessaire tout en garantissant une flexibilité maîtrisée aux membres de votre équipe.

Précisons que les paramètres de la carte carburant sont modifiables afin de s’adapter aux évolutions des besoins de son utilisateur.

40 millions de PV ont été distribués en 2021, un record en France

Après une année 2020 d’accalmie, marquée par les confinements et la crise de Covid, 2021 marque un nouveau record dans le nombre de PV distribués. Au total, presque 40 millions de procès-verbaux ont été adressés aux Français l’an dernier, d’après l’Agence nationale de Traitement des Infractions (ANTAI).

Après une accalmie, record de distribution de PV pour l’Etat français

Si les PV sont souvent mal vécus par les automobilistes, ils représentent une manne financière bienvenue pour l’Etat. Chaque année, des millions de contraventions tombent : radars automatiques, contrôles des forces de polices, forfaits post-stationnement (FPS), procès-verbaux électroniques (PVe), amendes forfaitaires et délictuelles… Les causes sont nombreuses.

Mais en 2021, le nombre de PV dressés est record : 39,53 millions précisément, pour un total de 52 millions de courriers envoyés aux Français pour l’année. D’ailleurs, pour des questions environnementales, l’ANTAI prévoit de généraliser l’envoi d’avis de contravention par e-mail. Au total, tous ces PV ont permis de rapporter 1,71 milliard d’euros à l’Etat.

Les radars automatiques sont responsables de 14,7 millions d’avis de contraventions

Dans le détail, les radars automatiques ont flashé 22,1 millions de véhicules en 2021, soit 19 % de plus qu’en 2020. Mais cette hausse n’est pas seulement due à la reprise du trafic. Les routes sont de mieux en mieux quadrillées par ces radars. Au 31 décembre 2021, ils étaient au nombre de 4 422, doit 198 de plus qu’en 2020. Si 164 anciens modèles ont été retirés, 362 modèles de pointes ont été mis en service : 

11,1 millions de forfaits post-stationnement (FPS) !

Concernant les FPS, c’est-à-dire les amendes distribuées en cas de non-paiement de votre stationnement ou de dépassement de la durée autorisée, les chiffres sont également impressionnants. Au total, 11,8 millions de FPS ont été transmis à l’ANTAI, soit 68 % de plus qu’en 2020. Sur ces 11,8 millions, 11,1 millions d’avis de paiement ont été réglés, soit 96 % des amendes envoyées.

Et attention en cas de non-paiement de votre sanction : l’ANTAI a été nommée comme seule et unique entité pouvait délivrer les titres exécutoires indispensables au recouvrement des FPS majorés. Conséquence : 5,01 millions d’amendes majorées ont été distribuées, soit une hausse de 285 % par rapport à 2020 !

Si vous voulez éviter d’avoir à payer ces amendes, réservez et louez votre place de parking avec Yespark !

Les parkings extérieurs bientôt couverts de panneaux solaires ?

Un projet de loi a été adopté par le Sénat en première lecture le 4 novembre dernier : présenté par la ministre de la Transition énergétique, il vise à rendre obligatoire l’installation de panneaux photovoltaïques sur les parkings extérieurs.

Une obligation qui concerne tous les parkings de 80 places ou presque

Si cette loi est définitivement adoptée, tous les parkings extérieurs de plus de 80 places seront contraints d’installer des ombrières équipées de panneaux solaires sur au moins la moitié de la superficie des emplacements de stationnement.

Toutefois, si le gestionnaire du parking est déjà engagé dans la production d’énergies renouvelables, il ne sera pas concerné par cette nouvelle obligation. Les parkings dédiés aux poids lourds de plus de 7,5 tonnes seront également exemptés par cette loi, ainsi que les parkings à proximité des “sites remarquables”.

À l’origine, le Sénat ne souhaitait mettre en place cette mesure que pour les parkings de plus de 2 500 m². Mais la décision a été prise en commission de déclarer un seuil de 80 places de parking, ce qui accroît le nombre de parkings concernés. En effet, un parking de 2 500 m² compte en moyenne 100 emplacements de stationnement.

La mesure devrait entrer en vigueur le 1er juillet 2023 si elle est adoptée. Cela devrait permettre de générer 11 gigawatts d’électricité si elle est appliquée telle que prévu, soit la puissance d’une dizaine de réacteurs nucléaires.

Des sanctions pour les gestionnaires de parkings réfractaires

Plus un parking sera grand, plus le délai pour appliquer la mesure sera court. Les parkings de plus de 400 places disposeront de 3 ans pour se conformer à la loi, contre 5 ans pour les parkings entre 80 et 400 places.

Si un gestionnaire de parking refuse de répondre à cette obligation, il s’exposera à une amende. Au départ, le montant de cette sanction n’avait été prévu qu’à 10 000 euros maximum par an. Elle a été relevée à 50 euros par place sur un parc de stationnement non conforme. Soit 60 000 euros d’amende par an pour 100 places.

ZFE : contrôles et sanctions automatisées arrivent en 2024

De nouvelles sanctions arrivent à grand pas dans les zones à faibles émissions (ZFE). Dès 2024, un nouveau système de contrôles et de sanctions automatisées fera son apparition. À la clé, des amendes jusqu’à 750 euros.

Un comité ministériel annonce un « contrôle sanction automatisé » dans les ZFE

Le 25 octobre dernier, les 43 présidents des métropoles concernées par les ZFE, le ministre de la Transition écologique et le ministre délégué en charge des Transports se sont réunis en comité et ont annoncé un « contrôle sanction automatisé ». « Nous travaillons à la mise en place d’un contrôle sanction automatisé sous forme de radars, disponible au second semestre 2024 », a précisé le ministre de la Transition écologique.

Ce nouveau système pourra délivrer des amendes allant jusqu’à 750 euros (classe 4) en lisant les plaques d’immatriculations. Ces dernières permettent en effet d’identifier l’âge du véhicule, et donc son droit à circuler ou non dans une ZFE. Certaines dérogations seront possibles, notamment pour les véhicules d’urgence et les personnes en situation de handicap.

« Cela fait quatre ans que nous demandions la mise en place d’un contrôle automatisé », salue Patrick Ollier, président de la Métropole du Grand Paris. « On ne peut pas avoir une ZFE efficace s’il n’y a pas de sanction pour ceux qui ne la respectent pas. Nous sommes donc sincèrement reconnaissants », ajoute-t-il.

Pour rappel, 43 agglomérations comptant plus de 150 000 habitants doivent instaurer une ZFE d’ici à 2025. À Paris, les véhicules diesel ne pourront d’ailleurs plus circuler dès 2024. En effet, les règles des ZFE se durcissent d’année en année.

D’autres annonces : PTZ voiture électrique, fonds vert, mesures pour les professionnels…

Conjointement, d’autres mesures ont été annoncées. Toujours concernant directement les ZFE, les collectivités dont la qualité de l’air excède les seuils européens devront respecter un « calendrier de restrictions de circulation des automobiles ». L’agenda est le suivant : interdiction des véhicules Crit’Air 5 en 2023, Crit’Air 4 en 2024 et Crit’Air 3 en 2025.

Côté consommateurs, le gouvernement prévoit pour les ménages modestes un prêt à taux zéro pour acquérir un véhicule propre à partir du 1er janvier 2023. L’Etat pourrait par ailleurs « regarder » pour éventuellement garantir les prêts de ces foyers modestes. Cette mesure devrait durer « pour deux ans d’expérimentation dans les métropoles en dépassement des valeurs limites pour la qualité de l’air », d’après le gouvernement.

Pour aider la transition écologique des collectivités, le gouvernement avait annoncé le 6 octobre dernier un « fonds vert » prévu par le plan national de sobriété énergétique. 1,5 milliard d’euros sont débloqués pour ce fonds. Pour l’accompagnement des collectivités, il « sera mobilisé à hauteur d’au moins 150 millions d’euros », pour un « volet ZFE-m », tel que l’a indiqué le comité ministériel. « Il pourra financer, entre autres, des études d’analyse préalables ou évaluation ex post, des études d’ingénierie préalables », « des études et aménagements de voirie pour développer le vélo et la marche », participer à « un investissement pour la mise en place de signalisation des ZFE-m », « une subvention d’études et d’ingénierie », ou encore à « l’aménagement de stationnement vélos sécurisé ».

Enfin, des mesures sont prévues pour les professionnels. Dans les semaines à venir, le gouvernement prévoit un groupe de travail en vue de « l’harmonisation des règles des ZFE-m, notamment pour les professionnels ». À suivre.

Le garage le plus sécurisé au monde conçu par Oppidum

Pour les propriétaires de véhicules d’exception, un garage classique ne suffit peut-être pas. Taille, sécurité, il ne faut négliger aucun critère si l’on veut y protéger une Ferrari, une Rolls-Royce ou une Bugatti ! Mais cela a un prix : Oppidum vous le facture 10 millions d’euros… minimum.

Faites construire votre garage Oppidum à partir de 10 millions d’euros !

Vous êtes l’heureux propriétaire de voitures d’exception ? Vous craignez un vol ou une dégradation sur vos véhicules bien acquis ? Oppidum a la solution pour vous : son « nouveau concept de résidences souterraines ». L’entreprise propose d’installer chez vous un garage très haute sécurité. En effet, il répond aux normes de l’OTAN en termes de protection ! En d’autres termes, vous serez équipé d’une sorte de bunker anti-nucléaire et souterrain pour y stationner vos bijoux.

D’ailleurs, cette installation ne consiste pas simplement en un parking. Vous pouvez y faire construire une salle de réunion, une galerie d’art, un spa, un jardin intérieur… Un tel projet est peut être un peu exagéré pour une Peugeot 206 HDI des années 2000 ou une Dacia Logan, mais il conviendra parfaitement à votre Pagani Huayra, produite en seulement 150 exemplaires ! Certes, cela a un prix… 10 millions d’euros au bas mot. Car il n’y a pas de limite de tarif, Oppidum s’adapte à la demande du client. Taille, équipements et localisation, tous ces éléments peuvent faire monter les prix !

Un garage très haute sécurité pour abriter vos bolides

Oppidum a bien choisi son nom, qui signifie « ville fortifiée » en latin. Ce fameux bunker fait 1 kilomètre carré de surface et sa sécurité est (presque ?) infaillible. L’emplacement du parking, nommé « Parc Fermé » (le nom est tel quel, en français chez Oppidum), s’ouvre via une porte de sécurité équipée d’une commande hydraulique. N’oubliez pas où cette dernière se trouve, car elle est presque invisible depuis le sol ! De quoi rappeler la célèbre cave de Batman !

Pour pouvoir accéder à votre parking, il faudra vérifier votre identité via un lecteur multi-biométrique qui identifiera à la fois votre visage, votre iris, votre paume et vos empreintes digitales.

« Ces bunkers offrent sérénité et sécurité à toute la famille. Nous avons le privilège de pouvoir offrir des services de haut standing à notre clientèle, créant des lieux extraordinaires qui les protégeront, eux et leurs futures générations. Nous optons ainsi pour une vision optimiste, mais nous ne pouvons malheureusement pas prédire l’avenir. C’est pourquoi il est sage de s’y préparer. Dans ce monde incertain, Oppidum apporte une tranquillité d’esprit », explique Jakub Zamrazil, CEO d’Oppidum.

L’entreprise propose pour l’instant ces garages ultra-sécurisés aux États-Unis, au Moyen-Orient, en Europe et en Angleterre. Ne tardez pas à vous équiper !