Stationnement public en France : quel est le coût pour l’État ?

En France, on distingue généralement deux types de stationnement. Le stationnement privé est géré par des acteurs privés tels que les entreprises, les hôtels et les centres commerciaux, et les stationnements publics pris en charge par l’État. Les municipalités sont ainsi chargées de fournir des emplacements de stationnement adaptés pour chaque type de résident.

Ces politiques sont essentielles pour encourager la mobilité urbaine et améliorer l’accessibilité aux services et aux commerces en ville. Elles offrent également des options de stationnement économiques face aux coûts parfois élevés des places de parking dans les grandes agglomérations.

Mais alors, quel est le coût du stationnement public pour l’État français ? C’est à cette question que répond l’étude de la Fédération nationale des associations d’usagers des transports (Fnaut), qui dresse un bilan plutôt déficitaire des dépenses de l’État en matière de stationnement public.

14 millions d’euros de dépenses non remboursées

Chaque année, le gouvernement français alloue une somme totale de 16,6 milliards d’euros pour des projets visant à améliorer le stationnement sur l’ensemble du territoire. Cependant, les revenus qu’il tire de ces dépenses ne s’élèvent qu’à 2,57 milliards d’euros, ce qui engendre un déficit annuel de 14 milliards d’euros. 

Pour mieux comprendre cette situation déficitaire, il est important de savoir que les dépenses  et recettes du gouvernement en termes de stationnement se divisent en six grandes catégories. Le stationnement sur voirie (gratuit et payant), les parkings publics en enclos et en ouvrage, les parkings des établissements publics, les contrôles et amendes, la fourrière et les taxes et les impôts. 

Le tableau ci-dessous dresse le bilan détaillé entre dépenses et revenus du stationnement public en France. De toutes les catégories présentées, seuls le stationnement payant et les impôts et taxes affichent un solde annuel positif. 

Dépenses annuelles (en millions d’euros)Recettes annuelles (en millions d’euros)Solde (en millions d’euros)
Stationnement gratuit sur voirie 12 300– 12 300
Stationnement payant sur voirie 427891+ 464
Parkings publics en enclos et en ouvrage 1 918745– 1 173
Parkings des établissements publics 1 608– 1 608
Contrôle et amendes 312129– 183
Fourrières 534– 49
Impôts et taxes 804+ 804
Total16 6182 573– 14 045

Stationnement sur voirie, seulement 4 % des dépenses remboursées

La France compte près de 71 millions de places de stationnement sur voirie. 70 millions d’entre elles sont gratuites et seulement 750 000 sont payantes. Les dépenses liées aux places de stationnement gratuites s’élèvent à environ 12,3 milliards d’euros, réparties entre différentes sous-catégories : 4,8 milliards pour l’acquisition foncière, 3,23 milliards pour l’amortissement des aménagements et 4,2 milliards  pour l’entretien.

Les places payantes génèrent des recettes annuelles de 891 millions d’euros pour des dépenses publiques estimées à 464 millions d’euros. C’est un bénéfice idéal, mais celui-ci ne couvre que 4 % des frais engagés dans la catégorie du stationnement sur voirie. Notons également un manque à gagner de 384 millions dû au non-règlement de ces places.

Accumulé, le stationnement sur voirie enregistre un manque à gagner à hauteur de 11,83 milliards d’euros, soit 87 % des frais non remboursés de l’État.

Parkings publics en enclos et en ouvrage  

Le stationnement en ouvrage comprend deux types de parkings : les parkings à barrière en surface, aussi appelés parkings en enclos, et les parkings en ouvrage au sens strict, qui comprend les parkings souterrains et les parkings en élévation.

Il y a approximativement 163 000 places en élévation, 150 000 places en enclos, et 887 000 en souterrain, soit au total 1,2 millions de places. Les dépenses publiques afférentes à ces parkings sont estimées à 1,92 milliard d’euros et les recettes à approximativement 745 millions. Les parkings en enclos et en ouvrage enregistrent ainsi un déficit cumulé de 1,17 milliard d’euros

Coût du stationnement dans les établissements publics

Le stationnement dans les établissements publics représente un coût annuel de 1,608 milliard d’euros. Cela est principalement associé au stationnement des employés estimé à 1,38 milliard d’euros.  Ce coût est complété par le stationnement des visiteurs, évalué à 223 millions d’euros. 

Les contrôles et amendes coûtent plus qu’ils ne rapportent

Plus surprenant que cela ne puisse être, le coût associé à la collecte des amendes est plus élevé que ses recettes annuelles. Une somme de 312 millions d’euros est allouée pour ce service, mais seulement 129 millions de recettes sont récoltés chaque année. Il faut dire que le non-paiement des amendes par de nombreux contrevenants contribue fortement à creuser ce manque à gagner, qui s’élève à 186 millions d’euros. Toutefois, si toutes les amendes étaient payées, elles permettraient de couvrir les frais associés aux contrôles.

Les impôts et taxes présentent un solde positif

Les impôts et taxes représentent la deuxième source de revenu de l’État en matière de stationnement. Chaque année, cette catégorie rapporte 804 millions d’euros de recettes. Près de 234 millions d’euros sont issus de la taxe foncière sur les propriétés bâties, 272 millions d’euros pour la taxe d’habitation. Environ 173 millions sont attribués à la cotisation foncière des entreprises (CFE) et 125 millions d’euros pour deux taxes spécifiques à l’Ile-de-France. 

Malgré ces bons résultats, la catégorie impôts et taxes enregistre un manque à gagner de 108 millions d’euros. 100 millions d’euros de perte sont à attribuer à la sous-déclaration des espaces de stationnement et huit autres pour la non-déclaration de la transformation de garages en pièces à vivre. 

La fourrière

La fourrière aussi présente un solde annuel déficitaire. Sur ses charges annuelles, 34 millions sont consacrés au contrôle et gestion et 14 millions aux véhicules hors d’usage et assimilés (épaves). La fourrière se rémunère avec redevances payées par les délégataires (2 millions d’euros) et les ventes des épaves (2 millions d’euros). Cette catégorie enregistre un montant non couvert 49 millions d’euros. 

Yespark, bien qu’acteur privé du stationnement, contribue lui aussi à améliorer la mobilité urbaine en utilisant des parkings souterrains parfois laissés à l’abandon pour proposer des parkings au moins jusqu’à 30 % moins chers. Profitez de deux jours d’essais gratuits et d’une assistance 7 jours/7 en souscrivant l’une de nos différentes offres.

Volkswagen : une voiture électrique sous les 25 000 euros !

La voiture électrique gagne de plus en plus de parts de marché. Mais un obstacle majeur continue de ralentir sa croissance : le prix. Les promesses de voitures électriques abordables ont eu bon train ces dernières années. Depuis, Dacia a sorti le Spring et Tesla promet toujours un modèle low-cost. Mais c’est aussi Volkswagen qui se positionne sur ce segment de marché avec l’ID.2 !

L’ID.2, une Volkswagen électrique à moins de 25 000 euros

Aujourd’hui, il faut compter minimum 35 000 euros pour acquérir une voiture électrique (sans compter le bonus écologique et en excluant le Spring de Dacia). Mais une nouvelle alternative s’ouvre pour ceux qui veulent acquérir un modèle électrique : Volkswagen a annoncé son ID.2, proposée à un prix à partir de 25 000 euros.

L’ID.2 se positionne comme un concurrent direct au Spring (à partir de 22 000 euros) et au futur modèle de Tesla, qui promet un modèle à bas prix depuis des années, mais qui n’a pour l’instant pas vu le jour. L’ID.2 devrait être commercialisée à partir de 2025. Mais d’ici à 2025, il se pourrait que d’autres constructeurs lancent des modèles dans cette gamme de prix, mitigeant potentiellement la sortie de cette Volkswagen.

En parallèle, le constructeur allemand a également indiqué travailler sur un modèle à moins de 20 000 euros. Mais ce dernier ne verra pas le jour avant 2027.

450 km d’autonomie pour un format compact

L’ID.2 est annoncée avec 450 km d’autonomie. Son format se trouve à mi-chemin entre la citadine Polo et la Golf, berline compacte phare de la marque. Sa longueur est identique à celle de la Polo (4,05m) et son empattement équivaut à celui de la Golf (2,60m). Volkswagen promet que ce nouveau modèle sera “aussi spacieux qu’une Golf, aussi bon marché qu’une Polo”.

L’ID.2 sera aussi dotée d’un grand coffre de 440 L ainsi que d’un habitacle riche en électronique dernier cri, avec un écran tactile de 12,9 pouces. Sous la banquette, vous trouverez un rangement verrouillable destiné à accueillir le câble de recharge du véhicule.

En termes de motorisation, le concept présenté par Volkswagen délivre une puissance de 166 kW, soit 226 ch. La recharge rapide devrait permettre de passer de 10 % à 80 % de batterie en 20 minutes seulement.

Paris déploie son dispositif d’aides pour favoriser l’écomobilité

La ville de Paris s’illustre depuis plusieurs années pour ses projets de mobilité saine. On y retrouve des initiatives telles que les vélos en libre-service, les tunnels vélopolitain, les dimanches sans voiture ou les Zones à faible émission (ZFE)… Tous ces projets se regroupent en une seule ambition : bâtir une mobilité plus douce dans les rues de la capitale française. 

Afin de nourrir davantage cet appétit de mobilité durable, la mairie de Paris a ouvert depuis le lundi 13 mars 2023, son service en ligne d’aide à  l’écomobilité. Un budget de 11,5 millions d’euros sera alloué jusqu’en 2026 pour aider les Parisiens à acquérir des moyens de transports ou autres équipements peu polluants.

Trois catégories bénéficiaires 

La municipalité a choisi d’adresser ce dispositif aux particuliers, aux habitats collectifs et aux professionnels.

Offre pour les particuliers

L’offre dédiée aux particuliers a pour objectif principal de soutenir les déplacements des résidents les moins favorisés et les plus fragiles telles que les personnes à mobilité réduite. Ces aides s’orientent sur l’acquisition, la gestion ou les services liés à un moyen de transport écoresponsable.

Vous pouvez en bénéficier en souscrivant à l’une des deux classifications proposées par la municipalité.

  • Les aides sous conditions de ressources : la mairie de Paris précise que seuls les Parisiens dont le revenu fiscal de référence (RFR) par part est inférieur ou égal à 6 300 euros pourront en bénéficier. Lors de votre demande, il faudra ainsi fournir le dernier avis d’imposition sur les revenus disponibles.
  • Les aides sans conditions de ressources : comme cela l’indique, il ne sera pas nécessaire de fournir la preuve du revenu. Tous les habitants de la capitale pourront y souscrire. 

Voici les offres auxquelles vous pouvez prétendre. Les montants des subventions varient en fonction de l’aide sélectionnée, et de votre revenu fiscal.

Aide% du prix d’achatPlafond
N°1Achat d’un vélo à assistance électrique (VAE)33 % du prix d’achat HT400 €
N°2Achat d’un dispositif pour transformer un vélo sans assistance électrique en vélo avec assistance électrique (DAE)33 % du prix d’achat HT400 €
N°3Achat d’un  triporteur à assistance électrique, d’un vélo cargo ou d’un cycle à 2 ou 3 roues équipé d’un plateau ou d’une caisse à l’avant ou à l’arrière33 % du prix d’achat HT600 €
N°4Achat d’un vélo cargo ou d’un triporteur sans assistance électrique, soit un cycle à 2 ou 3 roues équipé d’un plateau ou d’une caisse à l’avant ou à l’arrière33 % du prix d’achat HT600 €
N°5Achat d’un vélo mécanique100 % du prix d’achat HT100 €
N°6 Achat d’une remorque pour de transformer un vélo classique en vélo cargo33 % du prix d’achat HT100 €
N°7Achat d’un vélo adapté aux personnes à mobilité réduite33 % du prix d’achat HT900 €
N°8Stage d’apprentissage du vélo ou de remise en selle effectué par un organisme agréé100 % du prix d’achat HT60 €
N°9Souscription à un abonnement annuel pour stationner votre vélo50 % du prix annuel HT100 €.
N°10Découverte des services de mobilité partagée Mobilib100 % du prix d’achat HT100 €

Les aides n°7, 8, 9 et 10 ne sont pas soumises à des conditions de ressources particulières.

Offre pour habitats collectifs

Le but de la Mairie de Paris est d’encourager les résidences collectives, telles que les copropriétés et les bailleurs sociaux, à installer des abris à vélos sécurisés pour leurs habitants. Une aide financière équivalant à 50 % du coût hors taxes des travaux, avec un plafond de 2000 €, est proposée pour les inciter à réaliser ces aménagements.

Offre pour les professionnels

La ville de Paris propose différentes aides aux professionnels pour les inviter à privilégier des solutions  plus écoresponsables dans leurs déplacements. Cela se caractérise  notamment par des aides pour l’acquisition de véhicules électriques  (le montant de l’aide est fixé forfaitairement à 6 000 €.) . L’obtention de système dépolluant (montant de l’aide est fixé à 50 % du coût HT plafonné à 9 000 €) ou encore le financement d’équipements et dispositifs pour vélo (vélo électrique ou vélo cargo). Vous pouvez découvrir en détails toutes ces aides sur le site de la mairie de Paris.

Les anciens équipements entrent-ils en compte ?

Ce dispositif ne concerne pas uniquement l’acquisition d’équipements neufs. Les aides peuvent être attribuées de façon rétroactive. Il vous est donc possible de déposer une demande d’aide auprès de la Ville pour un vélo ou autres équipements achetés avant le 15 octobre 2022. Votre dossier sera ensuite étudié et sous certaines conditions, vous recevrez une aide adaptée.

Pour stationner votre vélo en toute sécurité dans un parking couvert, Yespark vous propose son offre Yespark Cyclo. Près de  1 000 parkings au mois sur Paris et petite couronne. Profitez de deux jours gratuits et d’une assistance téléphonique 7 jours/7.

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Avec le retour des beaux jours, les sorties vont se multiplier ! Les journées se rallongent également, une bonne occasion de faire durer un peu plus vos activités et déplacements. Mais cela signifie aussi que le trafic routier sera plus important, notamment les week-ends lorsqu’il fait beau. Si vous comptez prendre la voiture à ces occasions, vous pourrez alors rencontrer des difficultés à vous stationner. Et si vous tardez un peu à rentrer, il pourra être difficile de trouver une place libre à côté de chez vous.

Alors pour profiter au maximum de la nouvelle saison, pourquoi ne pas louer une place de parking ? Vous serez assuré de toujours bénéficier d’une place de parking disponible et sécurisée. Plus besoin de tourner au volant de votre auto et de perdre du temps pour vous garer à proximité de votre domicile ou de votre lieu de travail ! Et grâce au code promo PRINTEMPS23, économisez 30 % sur votre premier mois de location de place de parking !

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Yespark vous propose donc ses places au sein de ses parkings couverts et sécurisés pour voitures, motos, scooters et vélos, ainsi que des places équipées de bornes de recharge électrique. Avec notre application mobile, vous pouvez louer votre place privative en 2 minutes ! Vous pourrez ensuite accéder immédiatement à votre place en ouvrant la porte de votre parking grâce à une commande dans l’application.

Vous réalisez aussi des économies en évitant le stationnement en voirie ou en parking public, souvent très cher. D’autant plus que dans certaines villes, au retour du printemps, le stationnement dans la rue redevient payant.

Choisir Yespark, c’est aussi bénéficier de nombreux avantages

  • un essai gratuit de 2j ;
  • un abonnement au mois sans engagement et sans caution ;
  • une résiliation sans frais ;
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Vous avez jusqu’au 26 mars 2023 inclus pour profiter de cette promotion de printemps.

Voiture électrique sans permis : simplicité et éco-responsabilité

La transition écologique est une nécessité pour les constructeurs automobiles. Selon le Parlement européen, les transports sont responsables d’environ 30 % des émissions de CO2 de l’Union européenne. Parmi ces émissions, 72 % sont causées par l’ensemble « transport routier ».  La voiture détient une part immense de cette pollution puisque 60 % des émissions de cette catégorie lui sont directement attribuées. Construire une mobilité durable passe ainsi grandement par les acteurs des déplacements routiers. 

Après les constructeurs automobiles traditionnels, c’est au tour des concepteurs de voiture sans permis (VSP)  d’emboîter le pas de l’électrique. De plus en plus d’acteurs français et internationaux conçoivent des gammes et modèles électriques afin de  satisfaire une société plus sensible aux préoccupations environnementales. 

Une nouvelle perception des voitures sans permis 

Les VSP ne sont plus les pots de yaourt que nous connaissions par le passé. Aujourd’hui, les constructeurs travaillent particulièrement le style de leurs véhicules. Plus de détails, de formes, de couleurs pour un rendu qui plaît davantage. D’autres équipements tels que la direction assistée, les sièges chauffants, des tablettes tactiles… offrent plus de confort de conduite aux utilisateurs. 

Grâce à cette touche écologique, les voitures sans permis sont désormais incontournables dans la mobilité décarbonée.

Le mariage parfait avec la génération Z

Les nombreuses améliorations apportées à la VSP séduisent de plus en plus la génération Z. Les jeunes de 14 à 18 ans l’apprécient notamment pour sa sensibilité aux enjeux climatiques. Sa praticité leur offre également un moyen de locomotion agréable et plus sûr qu’un véhicule non couvert. Petite et maniable, elle permet un stationnement plus facile dans les zones urbaines parfois encombrées.

En outre, les VSP sont généralement moins coûteuses à l’usage que les voitures à essence ou diesel. L’électricité est moins chère que ces carburants et les coûts d’entretien sont par ailleurs réduits. Certains modèles sans permis sont équipés d’options de maintenance simplifiées, telles que des systèmes d’auto-diagnostic pour identifier les problèmes mécaniques ou des systèmes de lubrification automatiques.  

Quelques inconvénients à noter 

Les modèles de voitures sans permis ne sont pas des pièces de toute perfection. Quelques inconvénients sont à souligner. À l’achat, les VSP électriques coûtent plus cher que ses cousines à diesel ou essence. Pour des raisons de sécurité évidentes, les VSP sont interdites sur  autoroute, voies rapides et périphériques. Il faudra se contenter d’une utilisation en ville.

Comment choisir son modèle ?

Si vous êtes intéressé par les voitures électriques sans permis, voici quelques points à prendre en considération pour la sélection de votre modèle. 

  • Autonomie :

L’autonomie de ce type de véhicule varie en fonction de la capacité de la batterie et de la consommation d’énergie de la voiture. Assurez-vous que l’autonomie correspond à vos besoins de conduite. Si vous êtes un gros rouleur, une autonomie entre  100 et 200 Km vous conviendra parfaitement.

  • Vitesse :

Les voitures sans permis légères sont enregistrées dans la catégorie L6e de l’article R311-1 du Code de la route. Ainsi, pour le transport de personnes, leur vitesse ne peut excéder les 45 KM/h. Par contre, certains modèles peuvent avoir  une vitesse plus faible. Vérifiez bien avant l’achat pour éviter les mauvaises surprises.

Les modèles de VSP lourds enregistrés dans la catégorie L7e peuvent aller jusqu’à 90 km, mais ils sont destinés à une utilisation plus professionnelle, tel que le transport de Marchandise…

  • Temps de chargement :

Le dernier critère important à prendre en compte est le temps nécessaire pour charger entièrement la batterie. Si vous êtes beaucoup en voiture, optez pour un modèle avec une charge rapide et une bonne autonomie. Cela vous évitera de recharger trop souvent votre véhicule.

Voici notre petite sélection de VSP électriques rien que pour vous.

PrixAutonomieTemps de recharge 
Citroën AmiÀ partir 8 190 €75 km3 h
la Jiayuan CityÀ partir 10 990 €200 km2 à 4 h
Renault Twizy*À partir de 12 300 €100 à 120 km3 h 20
Aixam e-CityÀ partir de 16 690 €90 km3 h 40
Zero JuniorÀ partir de 13 800 €125 km2 à 4 h

*Version 45, bridée à 45 km/h.

Yespark est également un acteur important de cette mobilité seine et durable.  Avec son offre Yespark Recharge, vous disposez d’un parking au mois fourni en  borne recharge. Ne cherchez plus où charger votre véhicule et trouvez dès maintenant avec Yespark !

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Arnaque aux amendes de stationnement : attention à ces SMS

À l’instar de nombreux  Français, il est probable que vous ayez déjà reçu un SMS vous invitant à cliquer sur un lien. Il peut s’agir d’une ristourne, d’un colis à récupérer ou d’un mot de passe à changer… Ces techniques d’hameçonnage sont redoutables, car elles jouent énormément sur les émotions de leurs cibles. Beaucoup seraient ainsi heureux de recevoir un remboursement inattendu, et a contrario, inquiets face aux messages d’une amende impayée.

Par ailleurs, pour augmenter la crédibilité de leurs SMS, les auteurs n’hésitent pas à se  faire passer pour des sites administratifs. C’est ce qu’a récemment dénoncé l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (ANTAI) face à la recrudescence de tentatives d’arnaque aux amendes de stationnement.

Un nouveau piège pour les automobilistes

Depuis quelques mois en effet, des cybercriminels  tentent de piéger les automobilistes avec un SMS présumant une amende de stationnement.  Le message insiste très souvent sur l’urgence de paiement, faute de quoi la contravention sera surévaluée. Le but de cette manœuvre est de susciter l’inquiétude chez la personne ciblée pour l’amener à cliquer dans l’immédiat.

Une fois le clic effectué, ces derniers ont la possibilité de subtiliser vos informations  personnelles. Les données bancaires sont les plus prisées, mais ils peuvent également récupérer vos mots de passe et autres informations sensibles.

Comment identifier cette fraude ?

Si vous recevez ce genre de message, voici quelques astuces qui vous permettront de ne pas vous faire avoir.

Tout d’abord, lisez bien le contenu du message. En effet, ces SMS commencent par : « Info ANTAI » » et invitent les personnes contactées à consulter leur présumé dossier d’infraction. Ils disposent pour cela d’un lien qui semble tout à fait officiel : “INFO ANTAI : Vous avez un retard de paiement de 35 euros, dossier référence AAAAA. Cliquez-ici pour accéder à votre dossier : https://suivi-dossier-antai.com ».

Les formulations peuvent parfois être différentes, mais le contenu reste en général le même.   

Ensuite, il est important de savoir que le règlement d’une infraction par SMS ne se fait qu’au moment du délit et en présence de l’agent chargé de la verbalisation. Ainsi, si vous recevez un tel message sans la présence d’un agent, ne le considérez surtout pas.

Pour finir, notez que les administrations françaises n’utilisent pas de numéro commençant par 06 ou 07. Sachez donc que tous messages d’amendes avec ces préfixes mobiles sont des tentatives de fraudes.

Que faire en cas de réception de SMS frauduleux ?

Une seule solution, ne cliquez jamais. Même si le message comporte les mots « ANTAI info », et qu’il semble plus vrai que nature.  Ces liens ne conduisent pas vers le site officiel du gouvernement. Ce sont des adresses de redirections qui mènent vers d’autres plateformes web non accréditées pour le règlement des infractions. L’ANTAI précise que le seul site  attitré pour payer ses amendes est :  amendes.gouv.fr.

S’il vous arrive de cliquer par erreur,  il est possible de signaler cette tentative d’arnaque en envoyant le SMS frauduleux au 33 700. 

En optant pour le parking au mois de Yespark, vous êtes assuré de ne jamais être en infraction. Profitez de deux jours d’essai gratuits et d’une assistance téléphonique 7 jours/7.