Dans certaines villes de France, la tension sur le stationnement est particulièrement importante. Cela se traduit par une situation où de nombreux ménages motorisés ne disposent pas de leur propre place de parking. Un atout de taille pour les bailleurs qui possèdent un stock de places vacantes.
Marseille, capitale de la carence
La demande de stationnement privé ne cesse de croître dans les communes et métropoles du pays. Plusieurs facteurs expliquent cela : une réduction drastique des places en voirie par les pouvoirs publics, un ralentissement des nouvelles constructions de parkings, mais aussi des explications plus économiques – les villes rehaussent les prix afin de favoriser un roulement du stationnement. Pour beaucoup d’automobilistes, il apparaît nettement plus intéressant de se tourner vers les parkings souterrains en location mensuelle.
De fait, pour les propriétaires de parkings privés ou de logements sociaux, s’ils disposent d’emplacements vacants, il s’agit d’une aubaine formidable de répondre à la demande des habitants tout en optimisant la rentabilité de leur parc. Cette vérité s’impose tout particulièrement dans certaines grandes villes, où le pourcentage de ménages véhiculés sans place attitrée est conséquent. Le meilleur exemple est la cité phocéenne, Marseille, qui ne compte pas moins de 103 990 foyers à la recherche d’un parking pour leurs voitures. Rapporté à la population, ce chiffre constitue l’un des taux de carence les plus élevés de l’Hexagone. Logiquement, c’est la ville qui recense le plus de vols de voiture (ex aequo avec Aix-en-Provence), puisque ces ménages sont contraints de stationner en voirie ou dans les parkings publics.
Où se concentre la demande de stationnement ?
L’opportunité n’est pas moins grande dans d’autres villes, où plus de 25 000 ménages motorisés sont toujours en demande de stationnement, à l’instar de Paris (81 207 ménages sans place), Lyon (44 147), Strasbourg (30 579), Bordeaux (28 281), Toulon (26 926), Nice (26 814) ou encore Lille (25 163). Pourtant, des milliers de places existent sous les pieds de la population, dans les parkings souterrains. Au-delà de permettre aux bailleurs sociaux de générer des revenus additionnels, transformant ainsi le manque à gagner en recettes réelles, l’ouverture de leurs places vacantes aux habitants représente une action d’utilité publique. Il permet en outre d’éviter à la municipalité de construire de nouveaux parkings pour absorber la demande croissante.
Comment s’y prendre pour attirer ces voitures sans places ? Gérer le stationnement n’est pas nécessairement dans les compétences d’un bailleur social ou d’un propriétaire d’immeuble. De plus, cela demande des ressources humaines, financières et bien évidemment, du temps. Voici la solution : Yespark. Depuis sa création en 2014, la société Yespark a commercialisé près de 45 000 places de parkings et rapporté plus de 25 millions d’euros à ses partenaires. Parmi ceux-ci, on compte plus de 200 bailleurs sociaux, répartis dans toute la France, qui ont fait confiance à Yespark pour optimiser le taux d’occupation de leurs parkings. Pour ce faire, notre entreprise dispose d’un arsenal marketing puissant, d’un savoir-faire technique et opérationnel en constante adaptation, mais aussi d’un accompagnement complet et professionnel des partenariats. Pour rentabiliser vos parkings, contactez-nous à partenaires@yespark.fr
