Plan vélo : le gouvernement va investir 2 milliards d’euros

Le vendredi 5 mai, Elisabeth Borne, Première ministre, a présenté le nouveau “plan vélo” pour valoriser l’usage de ce moyen de transport non polluant. Une enveloppe de 2 milliards d’euros est prévue pour atteindre les objectifs du plan d’ici à 2027. Une bonne nouvelle pour ce mois de mai à vélo !

Un plan pour démocratiser l’usage du vélo

Ce nouveau plan vélo révélé par le gouvernement sera mis en marche à partir de cette année 2023. Sur les 2 milliards d’euros prévus, 250 millions seront investis chaque année pour aider au développement des aménagements cyclables sur l’ensemble du territoire français. L’ambition est de doubler la longueur du réseau de pistes cyclables.

“L’objectif est d’atteindre 80 000 km en 2027 et 100 000 km en 2030, à raison d’un engagement de 250 millions d’euros chaque année”, a expliqué Clément Beaune, ministre des Transports. L’effort sera notamment concentré sur les territoires ruraux, les petites et moyennes villes, à hauteur de 25 à 30 % des coûts des infrastructures.

Mais “l’enjeu, maintenant, est dans la réalisation. Il faut s’assurer que ces aménagements soient utiles pour le vélo. On devrait réfléchir à retirer quelques kilomètres de pistes, et à faire des parcours bien conçus, avec plus de connexion entre les villes”, anticipe Jean-Sébastien Catier, président de l’association Paris en selle.

Prolongation et revalorisation des aides

Le gouvernement a également pour objectif de “structurer une filière économique complète autour du vélo, de l’assemblage au recyclage”, détaille Elisabeth Borne. “Dans ce but, un appel à projets sera lancé, dans le cadre de France 2030. Nous visons l’assemblage de 1,4 million de vélos en France d’ici 2027, et de 2 millions de vélos en 2030.”

Ainsi, les aides déjà mises en place lors du plan vélo précédent resteront disponibles jusqu’en 2027. 500 millions d’euros sont destinés à étendre l’aide à l’achat de vélos d’occasion, qu’ils soient électriques ou classiques. L’aide peut être de 300 à 2 000 euros selon les revenus du demandeur et du vélo à acheter. Rappelons qu’entre 2017 et 2022, 6 millions d’euros ont déjà été versés en aides à 30 000 Français.

Pour les professionnels, une réduction d’impôt sur les sociétés est prévue jusqu’en 2027 pour les entreprises mettant à disposition une flotte de vélos de fonction pour les déplacements domicile-travail. 

Proposer des solutions de stationnement sécurisées pour les vélos

Enfin, le gouvernement compte installer 90 000 places de stationnement sécurisées pour vélos. Ils prendront la forme de parkings sécurisés, boxes à vélo et zones de stationnement surveillé. En effet, le vol de vélo est un phénomène très répandu en France, qui peut parfois rebuter les usagers. D’après une étude de l’ADMA (Académie des Mobilités Actives), entre 350 000 et 580 000 vélos seraient volés chaque année en France.

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Mercedes dévoile son système de stationnement autonome

L’univers du stationnement évolue en parallèle avec les avancées technologiques des constructeurs automobiles. Un exemple récent de cette évolution est la nouvelle proposition de Mercedes, qui a lancé un système innovant permettant à ses véhicules de chercher et de payer leur stationnement de manière autonome. Cette initiative illustre comment les constructeurs automobiles intègrent les nouvelles technologies pour simplifier et améliorer l’expérience de stationnement pour les conducteurs.

Quelle est cette nouvelle solution ?

La fonctionnalité récemment introduite par Mercedes s’appelle « Parking for Navigation » et est disponible sur les véhicules Mercedes équipés du système d’infodivertissement MBUX. Cette innovation résulte d’une collaboration avec et Bosch (équipementier automobile). Initialement déployé à l’aéroport de Stuttgart, le service s’étend désormais à d’autres parkings.

Premier système de stationnement de niveau 4 à être autorisé

La solution de Mercedes et Bosch est tout simplement le premier système de stationnement autonome de niveau 4 au monde à être officiellement approuvée pour une utilisation commerciale.

Dans les parkings, des capteurs fournis par Bosch sont installés pour surveiller le couloir de conduite et son environnement. Ces capteurs fournissent les informations nécessaires pour guider le véhicule. La technologie embarquée dans le véhicule convertit ensuite ces informations en manœuvres de conduite.

Par ailleurs, les véhicules sont capables de monter et de descendre des rampes par eux-mêmes pour se déplacer entre les différents étages du parking. Si les capteurs détectent un obstacle, le véhicule freine et s’arrête en toute sécurité. Une fois que la voie est dégagée, le véhicule reprend son parcours.

La recherche de places automatique

Cette fonctionnalité est simple d’utilisation. Il suffit d’entrer dans le parking et de quitter le véhicule. L’application se charge ensuite d’envoyer la voiture vers une place de stationnement pré-réservée. Ainsi, l’utilisateur peut vaquer à ses occupations pendant que le véhicule se dirige automatiquement vers sa place assignée.

Lorsque l’utilisateur revient, le véhicule retourne de manière autonome au point où il a été pris en charge, lors du départ.

Paiement simplifié 

Grâce à un partenariat stratégique, Mercedes offre désormais à ses clients la possibilité de garer leur véhicule dans plus de 80 000 parkings autorisés.

La solution permet aux conducteurs de payer directement leur stationnement à partir de l’écran du tableau de bord, en utilisant le nouveau service Mercedes pay disponible dans l’application Mercedes. Cette solution pratique et intégrée, simplifie le processus de paiement du stationnement pour offrir une expérience fluide, pratique et sans stress aux conducteurs.

Bientôt en France ? 

Pour le moment, cette fonctionnalité n’est pas encore disponible en France et ne semblerait pas arriver dans l’immédiat. Mais le développement de cette technologie aura évidemment à s’attendre vers d’autres pays d’Europe et la France sera parfaite pour l’accueillir. 

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Un modèle du CNRS simule les problèmes de stationnement à Lyon

Des scientifiques du CNRS ont travaillé sur un modèle basé sur les lois de physique statistique et la théorie des graphes afin de rendre une simulation des problématiques de stationnement à Lyon.

Lyon : une ville touchée par d’importants problèmes de stationnement

Comme de nombreuses villes en France, Lyon est touchée par d’importantes problématiques de stationnement : circulation importante, nombre de places en voirie qui se réduit, augmentation des dimensions des voitures posant problème dans certains emplacements… “On perd 50 à 70 heures par an à chercher une place de stationnement à Londres, Paris ou Lyon selon l’Inerix (un observatoire américain, NDLR), allègue Alexandre Nicolas, chercheur au CNRS à Lyon. On estime par ailleurs que la recherche d’une place de stationnement représente souvent plus de 10 % du trafic urbain (source : Hampshire & Shoup, 2018).

Non seulement ce temps perdu représente une difficulté pour les usagers de la route, mais il est aussi responsable de la congestion du trafic en ville. C’est aussi une importante source de pollution via les rejets de gaz à effet de serre des véhicules. Pourtant, de nombreux acteurs de la ville, pouvoirs publics comme spécialistes du stationnement et de l’aménagement urbain, se sont penchés sur le problème.

Un modèle mathématique et physique du CNRS pour évaluer les difficultés de stationnement

Pour tenter de démêler ce problème et proposer de nouvelles solutions, les scientifiques du CNRS ont bâti un modèle basé sur les lois de la physique statistique et la théorie des graphes. Concrètement, ils ont représenté la circulation lyonnaise autour des 80 000 places de stationnement public en assimilant les voitures à des particules en mouvement dans une figure faite de sommets et d’arêtes en lieu et place de la voirie. Lorsqu’une voiture passe à proximité d’une place disponible, la particule est “absorbée” par le modèle.

“La première (la physique statistique, NDLR) aide à appréhender le comportement collectif des véhicules, traités comme des particules actives. La seconde (la théorie des graphes, NDLR) permet ici de tenir compte de l’aménagement du territoire, en décrivant la voirie comme un ensemble de sommets et d’arêtes”, explique le CNRS.

“On savait assez bien modéliser les comportements de chaque automobiliste mais il n’était pas évident de voir les effets collectifs. Là, c’est plus clair, on peut utiliser des formules pour comprendre les distances, c’est plus flexible. On peut faire varier les paramètres du modèle, avec les préférences de destinations des conducteurs par exemple”, précise Alexandre Nicolas.

Quelles solutions pour les problématiques de stationnement en ville ?

Ce système s’est avéré payant : il modélise le réel de façon assez efficace. “On se rapproche de choses réalistes”, s’enthousiasme le chercheur du CNRS. Mais ce n’est pas seulement un bon modèle descriptif, il peut également proposer des solutions aux problématiques de stationnement. En effet, il permet notamment de mesurer les conséquences de l’ajout ou du retrait d’emplacements de stationnement ou de signalisation lumineuse des places disponibles.

Malgré tout, pour Alexandre Nicolas, la résolution concrète des problèmes de stationnement “relève du politique”. Car si le modèle peut anticiper le comportement d’automobilistes en recherche de places de stationnement, il n’est pas en mesure de prendre de décisions politiques. Et de ce côté, il semblerait que la métropole de Lyon vise plutôt à réduire le nombre de places en voirie, à l’instar de nombreuses autres villes en France.

Si vous avez des difficultés pour vous garer à Lyon ou dans n’importe quelle autre ville de France, pourquoi ne pas louer une place de parking ? En effet, en louant une place, vous bénéficierez d’un emplacement privatif et sécurisé pour votre véhicule. Vous gagnerez du temps et réaliserez des économies !

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Décarbonez facilement vos actifs immobiliers avec Yespark !

L’immobilier se met au vert ! En application depuis le 1er janvier 2022, la norme RE 2020 oblige les nouvelles constructions à être 100 % autonomes énergétiquement. Pour les bâtiments anciens, de nombreux dispositifs aident les particuliers comme les professionnels à la rénovation énergétique. Plusieurs raisons motivent la “décarbonisation” ou “décarbonation” des actifs immobiliers.

Qu’est-ce que la décarbonisation ?

Derrière ce terme qui pourrait paraître complexe se cache une définition assez simple. « Décarbonisation » désigne l’ensemble des mesures permettant à un acteur de la société de réduire son empreinte carbone. En d’autres termes, décarboner signifie diminuer ses émissions de gaz à effet de serre, principalement de dioxyde de carbone (CO2) et de méthane (CH4).

Décarboner ses actifs immobiliers : non seulement un enjeu de société…

L’objectif est clair : limiter au maximum son impact sur le climat. Aujourd’hui, la lutte contre le changement climatique est devenue une priorité pour beaucoup, autant à l’échelle individuelle que nationale, et même supranationale. En effet, l’Union Européenne aimerait par exemple atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050, c’est-à-dire atteindre l’équilibre entre les émissions de carbone et l’absorption de cette molécule dans l’atmosphère par les puits de carbone.

Mais la décarbonation n’est pas seulement un enjeu environnemental, elle est aussi un enjeu économique ! Dans un contexte de crise de l’énergie, il devient de plus en plus capital d’améliorer son efficacité énergétique, de consommer moins sans réduire les rendements et la productivité. Décarboner peut permettre de réduire la facture d’énergie de vos actifs de façon drastique, et donc d’améliorer votre compétitivité.

De plus, à long terme, la décarbonisation évite le risque d’obsolescence environnementale. En effet, si les énergies fossiles se raréfient, leur prix risque d’augmenter très fortement. Une entreprise dépendante de ces énergies pourrait donc voir ses coûts d’exploitation et de production exploser à la hausse. Pire encore, en cas de pénurie, c’est l’ensemble de son activité qui pourrait être mise à l’arrêt !

… Mais aussi une obligation légale !

Il faut également savoir que la décarbonation n’est plus seulement un enjeu de société. Désormais, de nombreuses lois sont passées pour obliger les différents acteurs économiques à réduire leur empreinte carbone. Cela se traduit par diverses mesures.

Tout d’abord, les entreprises de plus de 500 salariés doivent obligatoirement effectuer un bilan carbone tous les 3 ou 4 ans selon la nature de l’organisation. Ce reporting sert à estimer les émissions de CO2 de l’entreprise. Quant aux entreprises de plus de 250 salariés, un audit énergétique est également obligatoire. Ce diagnostic permet d’identifier et de cibler les points d’amélioration d’un point de vue énergétique.

Autre obligation : les travaux de rénovation énergétique. Depuis le début de l’année 2021, les entreprises du tertiaire doivent mettre en œuvre des “actions de réduction de la consommation d’énergie finale”. Cela concerne “les bâtiments, parties de bâtiments ou ensemble de bâtiments à usage tertiaire”, d’après la loi ELAN. Les bâtiments suivants d’une surface de 1 000 m² ou plus sont concernés :

  • les bureaux professionnels ;
  • les commerces ;
  • les hôtels et lieux de restauration ; 
  • les entrepôts ;
  • les bâtiments prévus pour les activités de santé et d’enseignement.

La rénovation énergétique est aussi une bonne manière d’augmenter la valeur de vos actifs immobiliers !

Prenons un dernier exemple : d’ici à 2025, les entreprises doivent mettre en place au moins une place de stationnement sur 20 équipées en infrastructures de recharge. Cette obligation a pour objectif d’accélérer la transition énergétique vers la voiture électrique.

Comment Yespark peut-il vous aider à décarboner vos actifs ?

Mais comment atteindre tous ces objectifs tout en réduisant les coûts ? Yespark peut vous aider sur quelques points !!

Nous vous proposons par exemple de mettre en location vos places vacantes. Cela peut vous aider à optimiser vos revenus tout en remplissant votre parking. De plus, un parking rempli est un parking plus sécurisant et accueillant : les risques de vandalisme, de squat ou de dégradation sont réduits. De plus, en confiant vos places à Yespark, vous participez à la réduction du trafic routier ! On estime que la participation de Yespark à la réduction du trafic routier permet de réduire de 9 300 tonnes les émissions de CO2*.

Yespark offre un service rapide, simple et flexible, rendant la location de vos places de stationnement plus facile que jamais. Notre interface numérique et notre système centralisé d’accès permettent de gérer et d’ouvrir le parking en ligne. Que vous soyez propriétaire ou utilisateur, la location d’une place de parking devient extrêmement simple. Oubliez les formulaires administratifs et la recherche de locataires : la gestion de votre patrimoine immobilier est simplifiée !

Grâce à notre interface partenaire en ligne, vous pouvez rapidement récupérer ou ajouter des places en gestion locative. Si vous avez besoin de plus de places pour vos employés, il vous suffit de les déplacer hors de la location. Inversement, si vous avez plus de places disponibles, vous pouvez simplement les enregistrer sur notre plateforme pour qu’elles soient immédiatement disponibles à la location !

*Méthode et hypothèses :

  • 15 km/h de vitesse moyenne pour les véhicules dans Paris.
  • Distance moyenne parcourue en 25 min : 6 km. Facteur d’émission issu de la base carbone de l’ADEME : « Voiture – Motorisation moyenne – 2018 » à 0,193 kgCO2e/km.
  • Estimation des émissions GES évitées par jour et par place occupée à 1,158 kgCO2.

Recharge des voitures électriques : un retard à rattraper

Le nombre de bornes de recharge pour véhicules électriques en France a considérablement augmenté au cours des dernières années, passant de 8 600 en 2014 à 82 107 en 2022. Cette augmentation vise à offrir aux citoyens la possibilité de recharger plus facilement leur voiture électrique ou hybride, et d’encourager davantage de personnes à opter pour ces types de véhicule. Malgré cette hausse considérable, 90 % des automobilistes n’ont toujours pas la possibilité de charger leurs véhicules depuis chez eux. Une situation embêtante, car le nombre croissant de véhicules électriques oblige à trouver des solutions de recharge plus accessibles. Face à cette situation, quelles solutions envisager ?

Où les Français chargent-ils leur véhicule électrique ?

En France, la grande majorité des recharges de voitures électriques (environ 90 %) se fait à domicile ou sur le lieu de travail. Le reste des recharges (environ 10 %) ont lieu sur des bornes publiques ou rapides. Mais là où réside toute la nuance, c’est que ce pourcentage ne correspond pas à la proportion de la population ayant la possibilité de charger leur véhicule chez eux.

 De nombreux Français qui résident dans des appartements n’ont pas de parking privé et donc pas de possibilité de charger leur véhicule sur leurs propres bornes. De plus, les logements sociaux ou autres résidences ne sont pas toujours équipés de dispositifs adaptés pour la recharge de ces véhicules. Il est de ce fait évident que des actions supplémentaires sont nécessaires pour répondre à cette problématique. 

La France, face à un retard à rattraper 

Sur les quelque 40 millions de véhicules qui sillonnent les routes françaises chaque année, on compte environ 800 000 voitures électriques et 400 000 voitures hybrides, soit approximativement 1,2 million de voitures qui nécessitent une recharge électrique. Ce chiffre peut sembler léger par rapport au total du parc automobile français, mais il faut se rappeler qu’il est en forte progression depuis des années.

Les préoccupations environnementales croissantes et la nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre font que de plus en plus de gens se tournent vers les voitures électriques. Par ailleurs, les améliorations constantes de la technologie des batteries et l’augmentation de l’autonomie des voitures électriques encouragent également leur adoption. L’objectif de 1 000 000 de voiture électrique en 2027 fixé par le président Emmanuel Macron devra sans doute nous amener à développer des solutions innovantes et efficaces pour permettre aux nombreux Français de recharger leurs véhicules plus facilement.

Londres et Berlin ont peut-être la solution.

La recharge des véhicules électriques est un sujet complexe en France et un peu partout en Europe et il se trouve que de nombreuses grandes villes traînent le pas sur ces sujets d’accessibilité de bornes de recharge. Malgré ce retard général, des villes telles que Londres ou Berlin tirent leur épingle du jeu en développant des réseaux de bornes de recharge intégrées dans les candélabres. Cette solution permet aux personnes qui n’ont pas de stationnement privé de recharger leur véhicule facilement.

Le rôle des acteurs du logement

Les acteurs de logements sociaux ont par ailleurs un rôle à jouer dans cette transition vers l’électrique. En effet, ils seront contraints d’équiper une partie ou la totalité de leurs parkings en bornes de recharge pour satisfaire les résidents avec des voitures électriques.

Pour ce faire, les bailleurs peuvent passer par des acteurs privés tels que Yespark pour la mise en place et la gestion des places de parking au sein de leurs habitations.

La loi exige également que les nouveaux bâtiments résidentiels de plus de 10 places de stationnement soient équipés de pré-équipements pour les bornes de recharge pour véhicules électriques, ainsi qu’un réseau électrique installé dans le parking financé par une taxe payée par la population. Les propriétaires peuvent alors installer leur propre borne de recharge sur leur place de parking privée, qui sera raccordée à ce réseau.

Yespark contribue à faciliter les recharges pour voitures électriques partout en France. Avec son offre Yespark Recharge, vous disposez d’un parking au mois avec une borne recharge privative. Ne cherchez plus où charger votre véhicule et trouvez dès maintenant avec Yespark !

Profitez d’un essai gratuit de 4 jours et d’une assistance téléphonique 7 jours sur 7 en cas de problème. L’offre est sans engagement et sans caution.