Télétravail et bureaux : comment remplir les parkings vides ?

Avec le développement du télétravail, moins de collaborateurs se rendent sur place. Par conséquent, de nombreux espaces se libèrent dans les bureaux… Mais aussi dans les parkings qui leur sont affiliés. Que faire de toutes ces places désormais vacantes ? Dès lors, il apparaît essentiel de repenser l’usage de ces surfaces vides.

Charles Pfister (à gauche) et Thibaut Chary (à droite), cofondateurs de Yespark

Avec le télétravail, de nombreux bureaux sont vides, et leurs parkings avec

Durant la crise de Covid-19, on a souvent évoqué les bureaux qui se vident. Mais l’on a également souvent oublié les parkings, eux aussi difficiles à remplir. Pourtant, la place perdue et le manque à gagner sont tout aussi importants. D’après Yespark, avec l’essor du télétravail, le taux de vacance dans les parkings de l’immobilier de bureau est proche des 20 %. Et cela ne risque pas de s’améliorer si rien n’est fait.

Pour corroborer ce propos, le baromètre du mutualiste Malakoff Humanis indique qu’à la fin de l’année 2021, 38 % du secteur privait télétravaillaient de manière régulière. De son côté, l’Institut Paris Région, qui dirige des études sur l’aménagement et l’urbanisme en Île-de-France, indique que le nombre de bureaux vacants a presque doublé dans la région depuis la crise sanitaire. Dans le détail, il précise que la surface vacante est passée de 2,6 millions de m² à la fin de l’année 2019 à 4,4 millions de m² à la moitié de l’année 2022.

Yespark propose la mixité d’usage des parkings

Alors, comment mieux utiliser cet espace ? « Ce phénomène conduit à appréhender de manière soutenue la mixité d’usage des bâtiments, en l’occurrence, comment faire que cette situation de places vacantes dans les parkings ne se pérennise pas sur le long terme », se positionne Thibaut Chary, cofondateur de Yespark.

Créée en 2014, la start-up Yespark s’est avant tout adressée aux bailleurs sociaux, afin de les aider à remplir leurs parkings vides. Cela présente plusieurs avantages : des revenus réguliers pour les partenaires de Yespark, davantage de sécurité dans les parkings, ainsi qu’une plus grande mixité sociale.

Mais au fur et à mesure des années, la société a étendu ses horizons pour créer des partenariats avec des bailleurs d’immeubles de bureaux. Et cela ne s’est pas limité à l’Île-de-France : Yespark est présent partout en France mais aussi en Italie. « Nous permettons ainsi aux propriétaires de bureaux de lutter contre la vacance de leurs parkings et de générer des revenus complémentaires grâce à la mise en location de ces places », explique le cofondateur au Figaro.

Connecter et remplir les parkings vacants

En pratique, la start-up propose un contrat de partenariat aux bailleurs immobiliers. Ces derniers lui confient leurs places de parking vacantes, que l’entreprise publie sur sa plateforme en ligne, disponible depuis son site et son application mobile. Divers usagers peuvent ensuite louer ces places, particuliers comme professionnels.

Pour faciliter les entrées et sorties, Yespark installe ses Yesboxes, appareils connectés permettant d’ouvrir à distance la porte d’un parking choisi. Cela permet une prise d’abonnement rapide et une ouverture instantanée grâce à une télécommande dans l’application, évitant ainsi la friction. Yespark procède également à l’installation de bornes de recharge pour voitures électriques dans certains parkings, répondant aux enjeux de transition énergétique dans le secteur automobile. Ainsi, il est possible de louer des places équipées de bornes de recharge dans certains parkings.

Paris : le prix du stationnement pourrait augmenter pour les SUV

Les SUV sont souvent décriés pour leur format et leur poids. Aujourd’hui, la mairie de Paris veut ajouter des sanctions contre ce type de véhicules. Elle souhaite leur ajouter une taxe “très significative” de stationnement.

Vers une nouvelle taxe de stationnement pour les SUV ?

Mauvaise nouvelle pour les propriétaires de SUV franciliens : la ville de Paris risque bien d’ajouter une forte taxe de stationnement pour ces véhicules au format et au poids important.

Anne Hidalgo a annoncé “une augmentation très significative des tarifs de stationnement pour les SUV et 4×4. Des tarifs déjà très élevés dans la capitale. Par cette mesure, elle veut “dire stop” aux “dérives des constructeurs automobiles qui poussent à acheter des véhicules toujours plus gros, plus chers, plus gourmands en matières premières, plus polluants, alors que nous devons radicalement réduire la pollution qui tue chaque jour”.

La décision sera votée le 4 février 2024 lors d’une concertation citoyenne, sur le même modèle que le vote qui avait marqué la fin des trottinettes électriques à Paris.

La mairie de Paris veut limiter l’usage du SUV

Ce projet d’interdiction est motivé par la volonté de réduire le nombre de véhicules polluants de la capitale. “Aujourd’hui, vous êtes très nombreux à me dire qu’il y a encore trop de grosses voitures polluantes qui prennent toujours plus de places dans nos rues, sur nos trottoirs ou même sur nos pistes cyclables. Il faut endiguer ce phénomène en limitant la présence des SUV et des 4×4 à Paris”, a expliqué Anne Hidalgo dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux.

https://twitter.com/Anne_Hidalgo/status/1724443062804300018

Elle ajoute par ailleurs que les SUV sont “20 % plus polluants que les véhicules ordinaires”. La mairie de Paris signale également qu’un SUV pèse 200kg de plus qu’un véhicule classique, et mesure 25cm de plus en longueur et 10 cm en largeur.

Une mesure qui ne fait pas l’unanimité

Du côté des associations d’automobilistes, le ton n’est pas le même et on dénonce une mesure contre-productive. “Cette hausse de poids se justifie par l’ABS (système antiblocage des roues d’un véhicule), par l’antidérapage, par la clim mais également par les équipements de sécurité”, allègue Alexandra Legendre,  responsable du pôle études et communication de la Ligue de Défense des Conducteurs.

Pierre Chasseray, délégué général et porte-parole de l’association 40 millions d’automobilistes, signale que l’augmentation du poids et du format des voitures est due à la transformation des banquettes arrière en sièges, plus sécurisés, et à la disparition des monospaces au profit des SUV. “Si les clients ont basculé vers le SUV, c’est parce qu’il répond à des besoins de modularités. Quand vous avez une famille, vous avez un hayon et non un coffre, vous avez un peu de hauteur qui permet de compenser l’absence de longueur des monospaces”, détaille-t-il.

Vélo : quelques conseils pour pédaler en sécurité en hiver

L’hiver n’est pas la saison la plus facile pour les cyclistes. Le froid, les intempéries et l’obscurité peuvent leur mener la vie dure. Pour autant, il n’y a pas forcément besoin d’abandonner son vélo ! Yespark vous donne quelques conseils pour pédaler en toute sécurité durant la saison hivernale.

Affronter le froid hivernal : bien s’habiller

Hiver comme été, il s’agit avant tout d’avoir une tenue adaptée à son environnement. Avec le froid et parfois le vent, il vaut mieux s’habiller chaudement, mais pas n’importe comment. Certains habits sont plus adaptés à la pratique du vélo que d’autres.

Pour le haut, on recommande généralement trois couches : le sous maillot, le maillot et la veste. La première couche sert à évacuer la transpiration vers l’extérieur. Pour cela, il vaut mieux opter pour des vêtements techniques. La deuxième couche est celle qui va préserver la chaleur. Si les conditions climatiques ne sont pas trop rudes, ces deux seules couches peuvent suffire.

La troisième couche va vous protéger des aléas météorologiques comme le vent ou la pluie. Il est conseillé de choisir une veste coupe-vent et imperméable, mais qui reste respirante.

Lorsque les températures descendent, il est également conseillé de vous procurer une paire de gants. Bien sûr, n’oubliez pas votre casque, de bonnes chaussettes et chaussures. Sous votre casque, un tour de cou, balaclava, bonnet, bandeau ou cagoule peut aussi garder votre tête au chaud. Dans tous les cas, n’oubliez pas de regarder la météo avant de partir pour choisir la tenue adaptée !

Bien équiper son vélo pour l’hiver

  • L’éclairage

Le plus important à vélo est d’être vu par les autres usagers, automobilistes, motards et autres piétons. L’hiver, il s’agit donc de se doter d’un bon système d’éclairage actif : phare blanc à l’avant et feu rouge à l’arrière. La visibilité étant moins bonne en cette saison, l’éclairage importe d’autant plus. Vous pouvez aussi ajouter des bandes réfléchissantes à votre équipement.

  • Les pneus

Les vélos aussi peuvent s’équiper de pneus d’hiver ! Plusieurs types de pneus hiver existent, adaptés à différentes situations : pluie, neige, gel… Opter pour des pneus hiver, voire cloutés, améliorera votre sécurité en vous assurant une meilleure adhérence.

  • Les garde-boues

Lorsqu’il pleut ou qu’il neige et que la route est humide, les projections peuvent salir votre vélo et votre équipement. Il existe des garde-boues amovibles qui vous protégeront de ces projections. Vous pouvez aussi ajouter des pare-manteaux pour vous préserver encore plus.

Entretenir son vélo l’hiver

L’hiver, l’entretien de votre vélo est primordial. Veillez à garder du liquide de dégivrage pour serrures pour éviter que votre cadenas ou antivol ne devienne inutilisable.

Il faut également bien lubrifier toutes les parties de votre vélo. Cela permet d’éviter les risques de gel et de corrosion. Si votre vélo est stationné à l’extérieur, pensez à bien le couvrir par une bâche ou une housse. Avant d’enfourcher votre vélo, pensez à effectuer quelques petits tests pour vérifier votre système de freinage et de direction.

Garer votre vélo dans un garage ou parking est la meilleure solution pour préserver votre vélo du froid lorsque vous ne l’utilisez pas. Yespark propose d’ailleurs des places pour vélos dans de nombreuses villes de France. N’hésitez pas à essayer l’un de nos parkings, nous proposons 2 jours d’essai gratuit, sans engagement !

Pour les vélos électriques, pensez à recharger régulièrement !

Enfin, sachez que les batteries sont mises à rude épreuve l’hiver. Vous l’avez peut-être déjà remarqué avec votre smartphone : lorsqu’il fait froid, les batteries au lithium ont tendance à se décharger plus vite.

Les vélos électriques ne font pas exception. Par conséquent, si vous disposez d’un vélo électrique, pensez à bien le recharger au moins une fois par mois, même si vous ne l’utilisez pas et que le système de votre batterie indique que son niveau de charge est suffisant.

Si vous l’utilisez quotidiennement, vous pouvez le recharger dès que vous vous arrêtez. Dans tous les cas, il vaut mieux le stationner dans un endroit où la température ne descend pas trop : chez vous, dans un garage ou parking.

Voiture sans permis : bientôt concernées par le contrôle technique

C’est une nouvelle qui n’avait guère plu aux motards : le contrôle technique allait leur être imposé. C’est désormais chose faite suite à un arrêté publié le 23 octobre dernier, les deux roues et trois roues sont soumis au contrôle technique. Mais ce n’est pas tout, cet arrêté le rend également obligatoire pour les quadricycles à moteur, autrement dit les voitures sans permis.

Après le contrôle technique moto, le contrôle technique pour les voitures sans permis

Depuis plusieurs années, les discussions et débats sont nombreux autour du contrôle technique moto. La pilule a été difficile à avaler pour de nombreux motards et le gouvernement n’a pas cédé. Mais cette obligation du contrôle technique vient aussi s’imposer pour les quadricycles à moteur, ces voiturettes sans permis particulièrement populaires depuis quelque temps.

Dans le détail, deux catégories sont concernées : 

  • la catégorie L6e qui concerne les quadricycles légers de moins de 425 kg et dont la vitesse est limitée à 45 km/h (les voitures sans permis) ;
  • la catégorie L7e, les quadricycles lourds de moins de 600 kg et limités à 90 km/h.

Cette deuxième catégorie nécessite un permis B1 et un âge minimum de 16 ans pour être conduite. La Microlino fait par exemple partie de cette catégorie. La catégorie L6e peut être conduite dès 14 ans avec un BSR ou un permis AM. On y trouve notamment la Citroën AMI ainsi que les modèles AIXAM ou Ligier.

Des modalités similaires au contrôle technique deux-roues

Mais quelles sont les modalités précises de ce nouveau contrôle technique ? Pour les quadricycles à moteur, les mêmes règles sont à suivre que les deux-roues. De facto, il n’y a pas d’urgence pour effectuer lesdits contrôles.

Ainsi : 

  • Pour les modèles immatriculés avant le 1er janvier 2017 : contrôle technique à réaliser au plus tard le 31 décembre 2024.
  • Modèles immatriculés entre le 1er janvier 2017 et le 31 décembre 2019 : à réaliser au plus tard le 31 décembre 2025.
  • Modèles immatriculés entre le 1er janvier 2020 et 31 décembre 2021 : à réaliser avant 2027.

Pour les voitures sans permis immatriculées depuis le 1er janvier 2022, la règle ne change pas par rapport aux voitures conventionnelles. En d’autres termes, les propriétaires de ces véhicules disposent de 4 ans à partir de la date de 1ère mise en circulation pour l’effectuer. Une fois ce premier contrôle effectué, le contrôle technique doit être renouvelé tous les 2 ans.

Enfin, l’arrêté précise que : 

  • Pour les véhicules mis en circulation avant le 1er janvier 2017 dont la date d’anniversaire de mise en circulation est avant le 15 avril : le contrôle est à effectuer dans un délai de 4 mois à partir du 15 avril 2024.
  • Pour les véhicules mis en circulation avant le 31 décembre 2021 : contrôle technique à réaliser dans les 4 mois maximum suivant la date d’anniversaire de leur première mise en circulation, dans la limite du 31 décembre de l’année prévue.

Pensez donc à bien vous organiser si vous êtes propriétaire d’un véhicule sans permis !

Voiture électrique : des batteries sans cobalt ?

L’une des critiques les plus acerbes envers la voiture électrique est son besoin en batteries. Ces batteries nécessitent notamment certains matériaux rares dont l’extraction est particulièrement polluante. Mais il semblerait qu’une solution à ce problème ait été trouvée.

Le cobalt, une ressource aujourd’hui nécessaire à la fabrication des batteries

Les batteries sont présentes dans un très grand nombre d’objets de notre quotidien : ordinateurs portables, smartphones, tablettes, casques audio et écouteurs sans fil… ainsi que les voitures électriques. Et dans les voitures électriques, ces batteries sont massives, très lourdes.

Traditionnellement, la batterie lithium-ion que l’on retrouve dans toutes ces machines nécessite l’usage de cobalt, un métal lourd dont l’extraction est très polluante. Mais des scientifiques de l’Université de Tokyo ont développé une batterie sans cobalt, plus écologique et éthique. Une bonne nouvelle alors que les progrès sur la batterie solide avancent également.

Vers une nouvelle technologie de batteries ?

Les applications pour cette technologie seront très nombreuses, mais c’est pour les voitures électriques qu’elle pourrait être révolutionnaire. “Nous sommes heureux d’annoncer une nouvelle alternative au cobalt en utilisant une nouvelle combinaison d’éléments dans les électrodes, notamment le lithium, le nickel, le manganèse, le silicium et l’oxygène”, détaille Yamada dans un communiqué de l’université de Tokyo.

Ces matériaux sont plus faciles à trouver et à exploiter que le cobalt, rendant leur usage moins polluant. Un enjeu de taille alors que l’Union Européenne s’apprête à interdire la vente de voitures thermiques.

Une nouvelle batterie plus performante

En plus d’être plus écologique, cette nouvelle technologie de batterie est plus performante. Elle dispose d’une densité énergétique plus importante de 60 % et peut conserver 85 % de sa capacité après 300 recharges.

De surcroît, la composition de cette nouvelle batterie lui permet d’endurer un millier de cycles supplémentaires. Une bonne nouvelle lorsqu’on sait que la longévité des batteries est un gros point noir de nombreux appareils électroniques.

Dans le détail, les éléments transportant l’électricité se déplacent entre deux électrodes au sein d’un électrolyte, pendant la charge et la décharge de la batterie. Ces électrolytes agissent comme une couche protectrice sur l’électrode négative. D’ailleurs, cette technologie pourrait aussi produire de l’hydrogène !

150e d’amende pour un stationnement gênant… devant chez lui !

Cet automobiliste a été sanctionné par une amende de 150 euros pour un stationnement gênant… devant son domicile ! Et sa tentative de contestation fut infructueuse.

150 euros d’amende pour un stationnement gênant devant chez soi

Dans la commune de Saint-Malo, un automobiliste n’a pas été gâté : il a reçu une amende de 150 euros pour s’être mal garé… devant chez lui. Il s’était garé rapidement pour rejoindre ses proches et fêter son anniversaire, sans se soucier de la façon dont il était stationné. Mais la police ne l’a pas entendu de cette oreille et lui a infligé le PV.

Car il faut savoir qu’un stationnement gênant peut être sanctionné, même s’il concerne votre véhicule devant chez vous. Est considéré comme stationnement gênant le fait de stationner de manière à obstruer ou entraver la circulation des biens ou des personnes (art. R417-10 du Code de la route). Techniquement, vous pouvez donc être sanctionné si vous garez votre voiture devant votre propre garage ou portail, même si une certaine tolérance des forces de l’ordre peut exister à cet égard.

Il conteste, mais n’aura pas gain de cause

Suite à cette verbalisation, l’automobiliste a tenté de contester. Il a saisi le tribunal de police en argumentant qu’il n’y avait pas assez de place de stationnement dans sa rue. Il s’est donc garé sur le trottoir devant chez lui. Suite à cette saisine, il n’a pas eu gain de cause.

« D’ordinaire, les contrevenants contestent le caractère gênant d’un stationnement qui leur est reproché. Vous ne contestez pas, mais souhaitez une indulgence. La police n’a pas à faire la différence entre les propriétaires et les gens de passage. Cette indulgence, ne l’attendez pas du ministère public. Même si c’est devant chez vous, vous gênez potentiellement les piétons. La police n’a pas à faire la différence entre les propriétaires et les gens de passage », explique le commissaire Guillaume Catherine, officier du Ministère public.

S’il est compliqué de trouver une place de parking disponible et sécurisée à côté de chez vous, pourquoi ne pas opter pour un parking Yespark ? Avec Yespark, plus de risque d’être sanctionné par une amende ! Vous bénéficierez à tout moment d’une place disponible et sécurisée en parking souterrain. En plus, vous pourrez profiter de nombreux avantages : 

  • essai gratuit de 2j ;
  • ouverture sécurisée avec un badge ou l’application mobile Yespark ;
  • forfait sans engagement et sans caution ;
  • résiliation sans frais ;
  • service-client humain disponible 7j/7.