Vélo : en Île-de-France, faites vous rembourser pour votre achat !

Si vous résidez en Île-de-France et que vous avez acheté un vélo, vous pouvez peut-être obtenir un remboursement. Île-de-France Mobilités (IDFM) a ouvert sa plateforme dédiée pour cette rentrée 2023, ce lundi 4 septembre. Yespark vous explique comment en profiter.

IDFM ouvre sa plateforme dédiée au remboursement des vélos

Vous prévoyez d’acheter un vélo pour la rentrée 2023, ou en avez déjà acquis un ? Vous pouvez peut-être vous faire rembourser une partie du prix de celui-ci dans le cadre du “plan vélo” déployé par IDFM. De plus, ces aides sont cumulables avec les subventions locales. Pour vous faire rembourser, il suffit de vous rendre sur la plateforme dédiée ouverte par IDFM et de suivre les différentes étapes indiquées.

Quels sont les vélos concernés par les remboursements ?

Plusieurs types de vélos sont concernés par ces subventions : pliants, cargos, adaptés, électriques… Les kits d’électrification de vélos mécaniques sont également éligibles à ce remboursement s’ils sont installés par un professionnel. Enfin, les 15-25 ans peuvent bénéficier d’un remboursement pour un vélo mécanique. Les entreprises de moins de 50 personnes pourront aussi bénéficier d’une aide au leasing à partir de 2024.

À savoir que cette aide est plafonnée à 1 200 €, dans la limite de 50 % du prix d’achat du vélo. De plus, le vélo doit être conforme aux réglementations en vigueur, doit être neuf ou reconditionné et vendu par un professionnel.

Certains accessoires peuvent aussi faire l’objet d’un remboursement. Pour en profiter, il faut acheter ces accessoires en même temps que le vélo et tous doivent être inclus sur la même facture. Les accessoires concernés sont les kits d’électrification pour vélo mécanique, les casques, sacoches, paniers et antivols.

En bref : 

  • Vélo à assistance électrique (VAE) : 400 € maximum
  • Vélo pliant : 400 € max
  • Vélo cargo sans assistance électrique : 400 € max
  • Vélo cargo sans assistance électrique : 600 € max
  • Kit d’électrification : 200 € max
  • Vélo adapté pour majeurs et mineurs émancipés (sous présentation d’un justificatif) : 1200 € max
  • Vélo mécanique pour les 15-25 ans : 100 € max
  • Leasing VAE pour professionnels : 150 € max par an (dans une limite de 5 vélos sur 3 ans)

Comment en bénéficier ?

Pour bénéficier de ce dispositif, vous devez résider en Île-de-France et être une personne physique majeure (excepté pour les mineurs émancipés et l’aide concernant les vélos mécaniques, dont les 15-25 ans peuvent bénéficier).

Suite à votre achat, vous disposez de 24 mois pour déposer votre demande. Vous pouvez donc la demander pour les vélos achetés depuis septembre 2021.

Enfin, vous vous engagez à conserver le vélo pendant 3 ans minimum et à ne pas avoir bénéficié de cette aide durant les cinq années précédentes. Une fois votre demande effectuée et toutes les pièces justificatives transmises, et si votre dossier a été accepté, vous recevrez votre remboursement par virement sur votre compte bancaire dans un délai de 4 mois.

Et si vous cherchez un emplacement pour stationner votre vélo, Yespark Cyclo peut répondre à votre besoin. Nos emplacements sont faciles d’accès et totalement sécurisés !

Amendes de stationnement : une nouvelle arnaque

Les arnaques aux amendes de stationnement se multiplient en France. Après de faux SMS vous incitant à payer, de fausses contraventions sont déposées sur les pare-brises des voitures. Yespark vous explique comment les reconnaître et ne pas vous faire avoir.

De fausses amendes de stationnement

Vous le savez peut-être : les forfaits post-stationnement (FPS) ont remplacé les amendes de stationnement. En d’autres termes, rester garer plus longtemps que prévu a été dépénalisé, mais ne vous coûtera pas moins cher. Dans de nombreuses villes, un FPS peut vous coûter plusieurs dizaines d’euros. De plus, dans certaines communes, les contrôles sont automatisés.

Mais comme si cela ne suffisait pas, des personnes mal intentionnées essaient parfois d’en profiter en délivrant de fausses amendes de stationnement ou FPS. Alors, êtes-vous certain que cette notification sur votre pare-brise est bien réelle ?

Au premier abord, ces fausses amendes sont très bien faites. On peut y lire ceci : “Nous souhaitons vous notifier qu’une amende de 35 euros a été remise à votre encontre. Nous attirons votre attention sur le fait qu’une majoration de 135 euros sera ajoutée si le règlement n’est pas effectué dans les deux jours ouvrés. Il est donc plus que primordial de régler le plus rapidement. Pour procéder à la régularisation, veuillez utiliser le QR code ou le lien ci-dessous.”

Un QR Code renvoyant vers un site frauduleux

Parfois, c’est une variante de ce texte, mais vous trouverez toujours ce fameux QR Code menant vers un site frauduleux. Ce site cherche à imiter le site de l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (ANTAI).

Alors en cas de doute, n’hésitez pas à vous rendre sur le vrai site de l’ANTAI, antai.gouv.fr, ou sur amendes.gouv.fr. Toutes les autres adresses sont fausses et mènent vers des arnaques. Si par exemple vous voyez une extension de domaine en “gouv-fr.fr”, ou encore “gouv-contrav.com”, vous vous trouvez sur un site frauduleux. Vous pouvez également vous rendre à un commissariat ou une gendarmerie pour vérifier l’authenticité d’un FPS et éventuellement dénoncer une arnaque.

Taxe foncière en forte augmentation : comment compenser ?

Pour de nombreux propriétaires, la réception de l’avis de taxe foncière a probablement été douloureuse. La hausse est généralisée à 7,1 % pour toutes les communes françaises. Mais certaines villes ont également décidé d’une augmentation au niveau local. C’est par exemple le cas de Paris, qui ajoute à cette première augmentation une nouvelle hausse de 52,9 %. Soit une évolution de +62,7 % entre 2022 et 2023.

Une augmentation généralisée dans toute la France

Si la suppression de la taxe d’habitation était une bonne nouvelle pour beaucoup, certains anticipaient une hausse mécanique de la taxe foncière pour 2023. Et ces derniers n’avaient pas tort : cet impôt local a très fortement augmenté partout en France.

Tout d’abord, l’État a imposé une hausse de 7,1 % pour l’ensemble des communes de France. Mais à cette augmentation, les collectivités locales peuvent à leur tour ajouter une hausse s’ils la jugent nécessaire. Et cela n’a pas manqué. Voici le top 20 des villes dans lesquelles cette hausse a été la plus élevée : 

  1. Paris : +62,7 %
  2. Meudon : +44,7 %
  3. Grenoble : + 33,2 %
  4. Bobigny : +26,9 %
  5. Troyes : +22,5 %
  6. Livry-Gargan : +22,2 %
  7. Metz : +21,5 %
  8. Courbevoie : +21 %
  9. Issy-les-Moulineaux : +20,5 %
  10. Corbeil-Essonnes : +19,2 %
  11. Limoges : +17,3 %
  12. Mulhouse : +17,2 %
  13. Lyon : +16,5 %
  14. Noisy-le-Sec : +14,3 %
  15. Villeneuve d’Ascq : +13,8 %
  16. Le Cannet : +13,6 %
  17. Quimper : +13,5 %
  18. Le Tampon : +12,6 %
  19. Saint-André : +12,6 %
  20. Antony : +12,5 %

Cette augmentation ne fait pas consensus au sein des pouvoirs publics. “Le gouvernement a décidé une augmentation des bases de 7,1%, explique André Laignel, maire d’Issoudun et vice-président de l’Association des maires de France. C’est un choix politique du gouvernement, il y avait d’autres possibilités. Le gouvernement a refusé d’indexer la dotation globale de fonctionnement, qui est la principale ressource des collectivités locales. Il a préféré augmenter de manière importante les bases de taxe foncière. Ce sont les citoyens qui vont payer, alors que s’il avait augmenté les dotations c’est le gouvernement qui aurait dû financer. Donc, c’est un choix politique.”

A Paris, une hausse record de la taxe foncière

À Paris même, Anne Hidalgo (PS), maire de la ville, a choisi d’augmenter cette taxe au niveau local de 51,90 %, soit une hausse totale de 62,7 % entre 2022 et 2023. Elle justifie : 

Pourtant, elle avait promis lors de sa campagne électorale en février 2020 qu’il n’y aurait “aucune augmentation d’impôt”. Néanmoins, certains propriétaires seront exemptés de cette hausse. Cette exemption concerne les propriétaires ayant investi entre 2020 et 2026 dans la rénovation énergétique de leur appartement, ainsi que les titulaires d’allocations de solidarité (ASPA, ASI, AAH).

Pourquoi ne pas louer votre place de parking pour générer des revenus ?

La facture est donc salée pour les propriétaires en cette année 2023. Mais il existe des moyens de compenser cette hausse en générant de nouveaux revenus. En effet, de nombreux propriétaires disposent d’une ou plusieurs places de parking vacantes. Alors pourquoi ne pas les mettre en location ?

Et si vous désirez vous affranchir de toutes les démarches administratives relatives à la mise en location d’une place de parking, Yespark s’occupe de tout ! Pour devenir partenaire, les démarches sont très simples : 

  • inscrivez votre parking ;
  • faites nous parvenir les accès.

Ensuite, nous nous occupons de trouver un locataire, puis vous reversons les revenus issus de la location de votre emplacement ! Le service est flexible : récupérez vos moyens d’accès sous 3 jours si la place n’est pas louée !

Malus écologique 2024 : des mesures toujours plus sévères

Chaque année, le malus écologique est revu à la hausse. Objectif : pousser les acheteurs à acquérir un véhicule “propre” et favoriser la transition vers l’électrique. En 2024, les divers malus (malus écologique et au poids) vont être renforcés.

Déplafonnement du malus écologique

Le dispositif de bonus-malus écologique est apparu en France en 2008. À l’époque, les véhicules émettant plus de 160 g de CO2 par km étaient pénalisées par un malus allant de 200 à 1 600 euros. De fil en aiguille, le malus a augmenté pour aller jusqu’à 50 000 euros en 2023 !

Mais en 2024, ce malus ne diminuera pas. Au contraire, il pourrait être déplafonné. En d’autres termes, une voiture très polluante pourrait être pénalisée par un malus de 100 000 euros. Et si les véhicules de société étaient exclus du dispositif jusque-là, ils pourraient être également concernés. Rappelons tout de même que le montant du malus écologique ne dépassera pas 50 % de la valeur du véhicule à l’achat.

Malus au poids : davantage de véhicules concernés

Autre malus qui devrait se durcir : la taxe au poids. 2022 était la première année de mise en place du dispositif. Cette taxe n’a pas changé en 2023 et concerne toujours les véhicules de plus de 1,8 tonne, à hauteur de 10 euros par kg supplémentaire (véhicules électriques, à hydrogène et hybrides exclus).

En 2024, ce malus pourrait concerner tous les véhicules de plus de 1,6 tonne, soit bien plus de modèles. A priori, les véhicules électriques et hybrides devraient rester exclus de cette mesure. Les modalités précises des nouveaux malus devraient être précisées officiellement par le gouvernement dans les prochaines semaines.

Le paiement par plaque d’immatriculation bientôt d’actualité

En 1893, la plaque d’immatriculation apparaît en France et relie un véhicule à son propriétaire. Il y a 130 ans, ce dispositif était mis en place afin d’identifier les auteurs d’accidents. Mais au-delà de cette simple fonction d’identification, la plaque d’immatriculation pourrait bientôt devenir un moyen de paiement de référence pour les automobilistes.

Une technologie de paiement par plaque d’immatriculation par Lyf

Le 14 août 1893, le préfet de la Police de Paris, Louis Lépine, rend obligatoire la plaque d’immatriculation sur tous les “véhicules à moteur mécanique”.

« Tout véhicule à moteur mécanique portera sur une plaque métallique, en caractères apparents et lisibles, le nom et le domicile de son propriétaire et le numéro distinctif énoncé en la demande d’autorisation. Cette plaque sera placée au côté gauche du véhicule; elle ne devra jamais être masquée », dictait le texte à l’époque.

Mais aujourd’hui, cette plaque pourrait connaître un nouveau rôle. Lyf, startup française spécialisée dans les solutions de paiement mobile, y voit un moyen de paiement viable grâce à sa combinaison unique de chiffres et de lettres. Et cela concernerait d’abord les parkings.

« Quand vous passez à la barrière de paiement, vous gardez vos mains sur le volant. La barrière va s’ouvrir parce que le système a détecté que votre voiture est identifiée à travers l’application. Pareil à la sortie et vous recevez automatiquement une notification qui vous indique que vous avez été débité du montant du stationnement que vous avez effectué », expliquez Christophe Dolique, fondateur de Lyf.

Une fonctionnalité qui pourrait s’étendre à plusieurs services

Cette nouvelle technologie est notamment permise par les progrès en matière de vision par ordinateur, un domaine de l’intelligence artificielle qui permet à différentes machines de reconnaître des informations via une image.

Ainsi, ce nouveau moyen de paiement pourrait être étendu à bien d’autres usages. APRR teste par exemple un dispositif similaire sur une portion d’autoroute de la A79 entre la Saône-et-Loire et l’Allier. Il n’y a donc plus de barrière au péage sur ce tronçon de 90 km. Toutefois, le paiement n’est pas automatique, à part pour les possesseurs d’un boîtier télépéage.

Pour profiter du système de Lyf, il vous suffit d’installer l’application Lyf Pay et d’y lier votre plaque d’immatriculation ainsi qu’un moyen de paiement. Mais si vous souhaitez vous affranchir complètement de paiement à la sortie de votre parking préféré, pourquoi ne pas choisir Yespark ? Nous proposons plusieurs formules, pour une courte durée ou au mois. En 2 minutes seulement, téléchargez l’application mobile Yespark, créez un compte et accédez tout de suite à votre nouveau parking. En plus, vous pourrez profiter de 2 jours d’essai gratuit !

Les Parisiens sont-ils des lève-tard ?

À quelle heure se lèvent les Français ? Quand utilisent-ils leur voiture ? Roulent-ils plus pendant les vacances, le week-end ou en semaine ? Yespark a cherché à répondre à toutes ces questions en analysant ses informations exclusives concernant les ouvertures de portes de parkings. On vous dit tout !

Des pics d’activité le matin et le soir

Depuis 9 ans, Yespark collecte des données sur ses parkings via sa technologie. Grâce aux ouvertures de portes, nous avons pu déterminer certaines habitudes de nos abonnés. La première chose que l’on peut remarquer : les pics d’activité au moment de partir au travail et de regagner nos pénates.

En effet, on observe davantage d’activité à deux moments de la journée : le matin entre 6h et 8h, et le soir entre 16h30 et 18h30. Le pic du soir est plus important que celui du matin. On peut alors imaginer que, si les départs au travail se répartissent davantage au cours de la matinée, les Français préfèrent, si possible, ne pas trop tarder avant de rentrer chez eux !

Les Français sortent plus en semaine que le week-end

Autre observation : les parkings sont plus actifs en semaine que le week-end. Un plus grand nombre d’ouvertures de portes est constaté le vendredi. Cependant, le samedi et le dimanche en particulier, l’activité diminue (-16 %). Mais, si l’on aurait pu s’attendre à un arrêt plus marqué de l’activité, on constate que les gens prennent quand même beaucoup la voiture le dimanche !

Quant aux horaires le dimanche, elles sont radicalement différentes des horaires en semaine ! En effet, le pic matinal arrive non pas à 7h du matin, mais bien à 10h. La grasse matinée a donc ses adeptes en France. Le soir, il survient entre 17h et 18h. On ne rentre pas trop tard pour préparer le lundi, une journée souvent difficile au travail, surtout pour les fêtards…

Les Parisiens sont en décalage !

L’étude des ouvertures de portes de parkings permet aussi de vérifier un autre point. Les Parisiens ont souvent la réputation de se lever plus tard. D’après une étude de Jawbone, entreprise américaine de bracelets connectés, les Parisiens ne seraient pas des lève-tôt. Nos données corroborent ce fait ! Nous avons déterminé que dans la capitale, les automobilistes parisiens ouvrent le plus souvent leur parking entre 7h et 8h, soit une heure plus tard que le reste des Français. Pour autant, ils ne semblent pas rentrer plus tard du travail, avec un pic d’activité le soir entre 16h30 et 18h30, à l’instar du reste du pays.

Autre donnée intéressante concernant Paris, l’activité dans les parkings est 7x plus importante dans les arrondissements extérieurs (11-20) que dans les arrondissements intérieurs (1-10). Pourquoi ? Les arrondissements extérieurs sont plus résidentiels*. Il y a donc davantage de personnes susceptibles d’effectuer des trajets en voiture et de se garer au sein d’un parking Yespark.

Source : le site bien-dans-ma-ville, qui mesure la population des arrondissements de Paris.

En vacances, on prend moins la voiture

Enfin, dernière donnée intéressante, les périodes d’activité tout au long de l’année. Tel que l’on peut s’y attendre, l’activité diminue pendant les vacances, durant les mois de juillet et d’août, et à l’occasion des deux dernières semaines de décembre. Tout au long de ces périodes, l’usage de la voiture pour de courts trajets est plus réduit, on privilégie la tranquillité.

Cela démontre bien que, pour beaucoup de Français, la voiture est un moyen de transport essentiel pour se rendre au travail. Pour certains, elle est même un outil indispensable. Alors pourquoi ne pas lui offrir une belle place de parking, facile d’accès et bien en sécurité avec Yespark ?

Batterie solide : Toyota annonce 1200 km en 10 min de recharge

On reproche souvent à la voiture électrique sa faible autonomie et son temps de recharge. Mais la batterie solide peut répondre à ces problématiques. La preuve en est : Toyota a annoncé une autonomie de 1 200 km, pour un temps de charge de 10 minutes.

Toyota veut battre des records d’autonomie pour ses voitures électriques

400 km d’autonomie ne vous suffisent pas ? Un peu de patience, des modèles dépassant allègrement le millier de kilomètres vont arriver sous peu. Toyota avait déjà informé travailler sur la batterie solide et prévoyait de lancer les premiers modèles équipés de cette technologie d’ici à 2025. Finalement, il semblerait que le constructeur japonais ait pris de l’avance.

Toyota a donc annoncé une autonomie de 1 200 km grâce à sa nouvelle batterie solide. Une batterie qui peut être chargée en moins de 10 minutes ! Cette avancée ne manque pas de provoquer l’enthousiasme de Keiji Kaita, président du centre de recherche et développement sur la neutralité carbone de Toyota. « Les batteries sont actuellement trop grosses, trop lourdes et trop chères. Nous voulons changer cela radicalement dans nos batteries », a-t-il exprimé.

D’après lui, Toyota pourrait même arriver à produire en masse des véhicules équipés de cette technologie d’ici à 2027 ou 2028. Les objectifs de la marque sont ambitieux. Après avoir tout misé sur l’hybride et l’hydrogène, Toyota veut se positionner sur le segment de l’électrique et de lancer 30 modèles 100 % électriques d’ici à 2030. Objectif : 3,5 millions de ventes mondiales de véhicules électriques, dont une partie sur le marché européen. Toujours en 2030, Lexus, marque de luxe du groupe, veut proposer 100 % de modèles électriques. Toyota aurait la même ambition pour 2035.

La batterie solide, une avancée technologique qui pourrait résoudre de nombreux problèmes

Mais pourquoi parle-t-on de batterie solide ? Aujourd’hui, les batteries au lithium qui équipent les voitures électriques, smartphones, ordinateurs portables et bien d’autres équipements technologiques, l’électrolyte est liquide. Cela présente plusieurs inconvénients : les batteries sont volumineuses, lourdes et peuvent présenter des risques.

La batterie solide, au contraire, est bien plus sécurisée, de taille plus réduite et surtout, bien moins lourde. La batterie à électrolyte solide représente donc une avancée technologique de taille, autant pour la voiture électrique que pour d’autres machines équipées d’accumulateurs. La batterie solide est également non inflammable, réduisant les risques de surchauffe et d’incendie.

Toutefois, cette technologie présente encore quelques défis techniques. « Les électrolytes solides se dilatent et se contractent lorsque la batterie se charge et se décharge, ce qui peut créer des fissures qui entravent le mouvement des ions entre la cathode et l’anode », détaille Keiji Kaita. Mais d’après les rumeurs, Toyota aurait déjà surmonté ces difficultés. D’autres constructeurs, notamment le constructeur chinois BYD, avait déjà annoncé des avancées majeures dans la recherche concernant la batterie solide. Il se pourrait bien que le marché de la voiture électrique évolue de façon notoire dans les prochaines années.

Aéroport : facture colossale pour son auto laissée au parking

Vous est-il déjà arrivé d’oublier votre voiture sur un parking ? Si le parking était gratuit, vous pouvez vous considérer comme chanceux… Pas comme cet Américain qui a “oublié” sa voiture sur le parking de l’aéroport de Chicago pendant 54 jours ! Il devra donc régler une note qui donne le vertige.

Il oublie sa voiture sur le parking de l’aéroport… Volontairement !

Pour lever toute ambiguïté, il faut d’abord préciser que ce jeune Américain a volontairement laissé sa voiture sur le parking de l’aéroport, le 3 mai dernier. Ce dernier voulait savoir quel serait le prix du ticket de stationnement après avoir laissé son véhicule garé pendant une longue durée. C’est une expérience pour le moins étrange, mais surtout coûteuse !

54 jours plus tard, cet homme s’est rendu à l’horodateur du parking pour y constater la facture. Trêve de suspense, la somme à régler est de 8 175 $, soit environ 7 500 € ! Car au sein de l’aéroport de Chicago, la journée de stationnement ne coûte pas moins de 138 €. Autant dire qu’il vaut mieux prévoir une solution moins coûteuse en cas de besoin.

Sur TikTok, la vidéo publiée par l’automobiliste au moment de régler la facture n’a pas manqué de déchaîner les foules. De nombreux conseils, souvent douteux, ont fleuri dans la section commentaires. “À ce prix, autant garder la voiture, je laisserai même la carte grise dans la boîte à gants”, “Clique sur “Ticket perdu”, ça te reviendra moins cher”, lit-on par exemple sur le réseau social.

Les prix des parkings des aéroports peuvent grandement varier

Heureusement, tous les aéroports du monde n’affichent pas des tarifs aussi élevés. En Europe, les prix sont plus raisonnables, bien qu’importants dans certains aéroports de renom. D’après une étude de Confused.com en 2022, les aéroports de Porto (4 € pour 24h), Stockholm (15,54 €) et l’aéroport de Nice (20 €) sont les moins chers.

C’est au Royaume-Uni que les prix sont les plus importants en Europe : 

  1. Heathrow : 87,55 € pour 24h
  2. Manchester Airport : 67 €
  3. London Stansted : 66,98 €
  4. London Gatwick : 51,10 €
  5. Amsterdam Schiphol : 43,84 €

À titre de comparaison, 24 € de stationnement dans l’un des parkings les plus proches de Roissy-Charles-de-Gaulle vous coûtera la coquette somme de 39 € ! Dans les parkings premium de l’aéroport Marseille-Provence, il vous en coûtera 20 €, 38 € dans le P3 Proximité de l’aéroport Lille-Lesquin, ou encore 25 € dans les P0 et P1 de Lyon-Saint-Exupéry.

Évitez de vous ruiner sur le parking de l’aéroport avec Yespark !

Si vous comptez vous garer proche d’un aéroport, mais que vous ne souhaitez pas vous ruiner avec les tarifs élevés des parkings, adoptez un parking Yespark ! Yespark dispose de nombreux parkings à proximité des différents aéroports français. Réservez votre place pour une courte ou longue durée en 2 minutes via notre application mobile ! Vous bénéficierez d’une place privative pour la durée de votre choix, dans un parking couvert et sécurisé. De plus, vous profiterez de nombreux avantages

  • essai gratuit de 48h ;
  • forfait sans engagement et sans caution ;
  • ouverture sécurisée via l’application mobile ou un badge ;
  • résiliation sans frais ;
  • support humain 7j/7.

Stationnement en été : comment s’organiser ?

L’été est enfin là ! L’air doux, le ciel bleu, le soleil qui vous réchauffe la peau, tout cela vous inspire de longues journées sur les plages ou des visites de lieux emblématiques de la France. Vous avez peut-être déjà planifié chaque détail de vos sorties : votre destination, les activités à faire, le pique-nique à emporter… Mais qu’en est-il de votre stationnement ? Très souvent, ce détail est négligé lors de la planification, ce qui peut entraîner des moments de frustration à chercher désespérément une place de parking. Cet été, ne laissez pas un problème de stationnement gâcher vos journées idylliques.

Des lieux où il est difficile de stationner en été

Chaque été, le stationnement devient un véritable casse-tête pour de nombreux automobilistes. Cette réalité peut transformer vos journées de détente en une quête stressante pour une place de stationnement. De plus, les règles de stationnement peuvent changer pendant la saison estivale, rendant la situation encore plus déroutante.

Stationnement sur les Plages : une mission délicate

Les plages sont le premier endroit auquel on pense lorsque l’été pointe le bout de son nez. Tout le monde veut profiter du soleil et des belles plages françaises. Cependant, cette affluence crée un véritable défi de stationnement. Les parkings à proximité sont fréquemment pleins dès le matin, et trouver une place devient un véritable parcours du combattant.

À Nice, par exemple,  trouver une place près de la promenade des Anglais est très difficile en été. Les places de parking y sont rares et convoitées.

Les musées : un défi de stationnement culturel

Les musées connaissent aussi leur pic de fréquentation en été. Si vous comptez vous y rendre en voiture, votre stationnement risque d’être des plus difficile. Qu’il s’agisse du Louvre à Paris, du Musée Fabre à Montpellier ou du Musée des Beaux-Arts de Lyon, ces lieux attirent une multitude de visiteurs, relevant les difficultés de stationnement. Les rues adjacentes sont souvent, elles aussi, saturées et les parkings à proximité sont rapidement pris d’assaut. 

Stationnement dans des zones touristiques et de loisirs 

En été, les lieux d’attraction tels que les parcs, les zones de loisirs et les sites touristiques sont particulièrement prisés. Les gens y vont pour se distraire, s’amuser, partager des bons moments en famille ou entre amis. Cependant, ces endroits sont, eux aussi, victimes de leur propre succès. Le Parc des Tuileries à Paris, le Parc de la Tête d’Or à Lyon, font fréquemment face à des défis de stationnement dû au manque de place à cette période de l’année.

Éviter ces pièges du stationnement en été 

Lors de déplacements en voiture pendant l’été, trouver un lieu de stationnement en ville peut s’avérer complexe. En l’absence de solution adéquate, de nombreux automobilistes optent pour des stationnements improvisés, comme les gares ou les trottoirs. Cependant, ces alternatives ont leurs propres défis.

Le stationnement sur le trottoir est soumis à des limites de durée, généralement de sept jours, au-delà desquelles votre stationnement est considéré comme abusif et soumis aux sanctions de deuxième classe. Il est donc essentiel de faire attention à ces règles pour éviter des surprises désagréables.
D’autre part, le stationnement dans les gares peut être une option, mais il faut être prêt à faire face à des coûts élevés. Selon Pierre Chasseray, délégué général et porte-parole de l’association 40 Millions d’Automobilistes, intervenant sur CNews, un stationnement de 15 jours à la gare Montparnasse à Paris peut coûter jusqu’à 215 euros, tandis que le stationnement à la gare Matabiau à Toulouse peut grimper jusqu’à 179 euros.

La sécurité du stationnement en été 

La sécurité est également un aspect crucial à prendre en compte lorsqu’il s’agit de stationnement, en particulier pendant la saison estivale. Selon Statista, 4 voitures sont volées chaque jour en France. Ce nombre tend à augmenter durant l’été en raison d’une surveillance moindre des véhicules.

Par conséquent, le choix de votre parking ne doit pas seulement être basé sur la commodité et le coût, mais aussi sur la sécurité. Une place de stationnement sécurisée peut minimiser les risques de vols ou de dommages à votre véhicule, ajoutant une tranquillité d’esprit à vos sorties estivales.

La solution, c’est d’anticiper son stationnement 

Que vous prévoyiez une sortie pour quelques heures ou un séjour plus long, il est indispensable d’anticiper son stationnement. Heureusement, des solutions comme Yespark permettent d’anticiper et de résoudre ce problème en toute simplicité.

Yespark est le leader de la location de parking longue durée en France. Avec plus de 65 000 places disponibles dans tout le pays, Yespark offre une solution flexible pour votre stationnement. Grâce à une plateforme en ligne simple d’utilisation, vous pouvez réserver une place de parking en quelques clics, où que vous soyez et quand vous en avez besoin.

Comme l’affirme pierre Pierre Chasseray sur CNews, les couts du parking chez Yespark sont des plus abordables. Vous ne vous ruinerez donc pas cet été.

Vous comptez rester dans une ville pour plusieurs jours, semaines ou mois ? La location longue durée est la solution idéale pour vous. Yespark vous propose des locations au mois sans engagement et sans caution. Vous bénéficiez d’un emplacement privatif, accessible 24 H / 24

Si vous prévoyez une sortie de quelques heures ou une journée, Yespark a également pensé à vous. Grâce à la location courte durée, vous pouvez réserver une place de parking pour le temps dont vous avez besoin, que ce soit pour quelques heures ou pour la journée. 

Les parkings souterrains de Yespark offrent un gage de sécurité durant vos séjours ou vos différentes sorties.

Le stationnement en août, un cas particulier

Août est un mois unique en matière de stationnement en France. Dans de nombreuses communes, le stationnement en voirie devient gratuit pour la durée du mois. Cela peut être une aubaine pour les automobilistes, qui peuvent alors garer leur véhicule sans avoir à payer de frais de stationnement.

Cependant, il est important de noter que cette règle ne s’applique pas uniformément dans toute la France. Certaines communes peuvent choisir de ne pas rendre le stationnement gratuit en août, ou de n’appliquer cette gratuité qu’à certaines zones spécifiques. Par conséquent, il est indispensable de bien s’informer sur la réglementation de la commune où vous comptez stationner, afin d’éviter une éventuelle infraction.

Paris : le prix du stationnement va augmenter pour les SUV

Après la taxe au poids qui s’est ajoutée au malus écologique, les SUV sont à nouveau visés par des mesures restrictives. À Paris, les propriétaires de ce type de véhicules vont payer plus cher leur stationnement.

Faire payer les propriétaires de véhicules plus polluants

Après Lyon, c’est à Paris d’annoncer cette nouvelle mesure : faire payer davantage le stationnement aux propriétaires de SUV, ces voitures surélevées généralement plus lourdes et imposantes que les berlines et autres citadines. Ce jeudi 8 juin, les élus du Conseil de Paris ont voté à majorité en ce sens.

“Nous souhaitons que la Ville de Paris fasse évoluer la tarification du stationnement payant pour la rendre progressive en fonction du poids et de taille des véhicules”, explique Frédéric Badina-Serpette, élu écologiste dans le 18e arrondissement. L’élu met en cause l’embonpoint des véhicules, dont le poids a considérablement augmenté ces dernières années. “Entre 1960 et 2017, le poids des véhicules a crû en moyenne de 62 %, leur largeur de 14 %, et leur hauteur de 21 %”, assène-t-il. Il souhaite donc appliquer le “principe de pollueur-payeur.

Rappelons tout de même qu’une grande partie de l’augmentation du poids des voitures est due aux dispositifs de sécurité et antipollution, dont la plupart sont aujourd’hui obligatoires pour qu’un véhicule soit homologué.

Un “tarif solidaire adapté” aux familles nombreuses

Concrètement, le tarif d’une place de stationnement payante à Paris augmentera de façon proportionnelle à la taille et au poids du véhicule à partir du 1er janvier 2024. Néanmoins, un “tarif solidaire adapté” sera proposé “aux familles aux plus faibles revenus”, ainsi qu’aux “familles qui ont parfois besoin d’un véhicule pour se déplacer”.

Le prix du stationnement devra donc “prendre en compte la taille des foyers pour ne pas pénaliser les familles nombreuses et en particulier les plus modestes”, affirme David Belliard (EELV), adjoint à la mairie de Paris chargé de la transformation de l’espace public, des transports, des mobilités, du code de la rue et de la voirie.

Lui qui approuve fortement cette mesure, dit être “déjà en train d’y travailler”, tout en définissant les SUV comme une “aberration écologique”. À droite, les opinions sont moins tranchées. Les élus de la droite parisienne ont voté contre la mesure, sans toutefois donner d’avis à ce sujet. Seule Rachida Dati, maire du 7e arrondissement et présidente du groupe Changer Paris, s’est exprimée. Elle dénonce une mesure qui “ne cible que les résidents parisiens comme à Lyon” et “montre encore une fois que la mairie de Paris prend les Parisiens pour un tiroir-caisse”.